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peu apparentes/ stbtout'amM’Iaageoirei où. l’oeil nu a .peine'àîles
suivre. BmerArtéTipnpe fait w qu’elles soi^stïiéfes>c'aneentri(ÿael
S ment. Il y»aJi®a espace quûforme une espècêîdé/cAqn<diW depuis la
nuque rdt æùttles;écailléjjaiesnbæinerim autre aspecty qui en«éstàÉ|ême
dépourvue au crâne et au museau;11’i^pg«cklemêîpafedj2paslën tiroir
non plus,!mais il-y-sen' a sùr'Jaqôû'eî-;.:
i : La-ligne , laæérajle én a de plus», fortes ; .elle est courbée diëi:m«pèré
j' à se rapprocher; du do?s e t se terminerai la findèdeiglpEsale aanbard
■ ■ .'-.supérieur du bout de ^éuetij«i?p&^l*caùdale^La;e®uleur4g,éiié-
. radd:èst;argentée,' teinte de.'pl'ombéjoîî de bleüatrei versile dos.sLe
M capuchonMest|d’.u*ie coulenppliis; fôncee r(æt^apÉèpM:iMitchill|, le
corps WÎes rëflets noirs et violets. La dprsale-jéM’anale spfrt fînènrént
- np.dintiMées Ide' hoir y et une'.grande' partie dedeurst-poWes sont en-
r. tîlr^Q^^»i|fe^ï^à|ly^'a^wssx des joints'noirs ew dedans: de la
-i^feufchfe. es;
La caudale .paraît îa^sodr/ été jaune, et il y a un peujldê moiràtré
, : vers ses pointes; : '
^Hi§qlon IVRtchill, fésbè1cJe ' ârnvMJi
longueurrHaus'enâ^ojos meme rem de CK arllgrown un
individu 'de- ïmit erlwa|p|:par M. HomlBprctb.
.On la n6miue.^^ ^ y -7,York harvest^fîsh, pagp^qu’ejlé
arriyeiysurjpc^tteg côte au temp.s de lad $4^ 1,!^ dtsfe.un
manger dëliea*t.'nr
L e R hOMBE a NAGEOIRES Argêntbés. !
,'t {fîhombus^ argëntipinnis‘, nob..),
M. d’Orbîgtiy nous a envo1^ r Jécèifimeht'I11Jé> Mdntévid^'d-
un rhômbe fôit seiûblable/a l’harvçst-fish p6ur la lorrne*
pour les lamèl^bu épines èn avant de la dorsale et deTanâl^f;
' ’ mais où les deux nageoires ont les pointes moins élevées,.’de moitié
seulement de la hauteur du corps, et.comptent moins de rayons
.. (D. 5/ftQ -, A.-^/S8)^ Son : capuchôn est. lisse. ; .
m âWi a p.' t üf >*l®ï oilBl §p 301
' hlèuâtréivers le dos. Sa dor-
, ^ sjon^anftl61S $ n gen lé la premiè|p|nst finenaent pointdléé
de noirâtre j rautreest unpe^^hoeïdft„cet|ef c.oÿle^r^ers, sa pointe,
lia caudale paraît'jautia^e.dlj^.k H^^PwA^Sjpoii’S^ans^ la bouche,
, cqpame.atK
I^ ^ f emindividus ^nt longs| de m
,-t-ilè 'R HO M’B'E|||» (ÿpÉXjEf^'AtjlîÿÊ.1 <! ‘
Le'Brésil pVo'duit u n e autr^éâf.^^Voisine de lbarvestfish,
v '< * • *" ^ ~£ ' ^ • \ t ,
k'ILn peu moins haute5 à îprnpd^c^^p^uètsoydevqne rhomboi-
dalmoù le!profil' descend. un péu moins'rapidementet sfe termine
en s’a^'ondissa-ht et non pa;r tine tÈôncatuiæ j^où le" capuchpn n’est
’p a sT^^OTaî«^v#n|KW^-Sje 'marqué- ne; lignés*, serrées.e^t ir/é-
" guliéoe^CTtnranchu^, représentant.ûWréseaù yeineûx.
eh. avôh^^^^pdt^d%k:;dont ïa- dorsale et rânajfe .sôiit-noi-
’ rl&res et pointillées de hoir^ d ’adtfp^où ellés' s9nt jaunêè et poin-
“ tilléei^pltfe 'finement ; tous ont’la^cttudMé- fiaune\ et l’intérieur ,de
la bouché semé de points noirs.
D. 4/40 A.,3/39;., ^
^ést bien sûrement ici le p am p tislou p a ru pisôi brasi-
lierisi congener' sipe pinnis ventràlibus dé Slo'ane l, que
Blo'clï’â' cru identique^a^pll^pample,noire dé Tranquebâr^
idJe'tqui lui a iaitfc donner lé pqm dû stromateus p a ru
à;cèjtte,tpam(p.lçiï, lorsqu’il l’a reprise,n^q^pour.,1a première
-:iSïoânè?^)arle. même en détail desipetits»’os qui garnissent
l’estomac de “ce poissqpj.
Jlt^êldSàa..,'Jam., 1.11/p. 2 8 1 , pl.*a5o, %. 4 .