6 8 LIVRE? IX. SCOMBÉ'R OXDES.
Dn, en trouve un dans Margrave, son i ÉS&),
un dans Sèlba ÿèûs léhiêmë nom'ft. III, pl. 2^, n:a*3$>*‘
Plu mien fén avait de$siiié un,- sa carangue, dont Bloch
a donné une xo pie; eest/fe scomber carangus de sa grande
ichtyp|ogie*( pl. 34o). .
t e scQ^ber hippos é.e Linnaeus,, le scomber ^A&ç/snHonis
d’G^Seçk appartiennent incontestablement àfice£t,er subdivision,
ainsi que le sçomber chrysos deiVlitchill.
H-bus y rapportons aussi le scomber Kleinu? .
Il |j||t probable que l’on dort y,-ranger ,pusieu,rs des
scombres de Forskalytels que ignobilis, sansun.• mais spn
scomber speocpsus^ Fieri qù’ayant la meme tête y se» distingue
de%ra1âtéês‘ par le manque-absolu de dénis./ '
Russel, dans ces-derniers temps, en a décrit, et-présenté
sept ou huit (t. II, pl. -
- Mais la difficulté, Jïè t de rapporter ces deseriptiohsyet
*ême plusieurs dé ces figures, au^e^tTefis que l’on a,sous
les yeux, et de trouyerieslmoyèns'dé fixer ôettMSnpbr-
dance,‘eh ^ n d a n t les caractères qui l’auront paùrfffîj^e
faciles à saisir fpar. les ^personnes qui verront *l^e|p||Êes
ispléhSt ^
X « C a r ^n g u e p r o p r e m e n t d i t e .
^Carangc ^carangus§ nob.p iSjCûmberbàran^us, Bl.)
La carangue de no^ îles, représentée par le p|.re Plumier^
et g-ravéë d’après lui dans l’ouvrage de Bloch (pl. 34'©)^sous
le nom, d scomber carangusy est un poisson*
à carps comprimé,-blont la plus grande hauteur/au milieu "’du
l, Bloch, pkB^Pral§fil^
f . CHAT. X V .' CA RANG Ü E S , .
dont la c01îr!)e du
dôs'descend e n ,a r c * ' cercle pour-former le profil. Son épaisseur
eS du.fiers de.sa hautéur. Sa tête,, aussi haute que longue, fu t le,
q u a r t * la longueur totale. * é s t aussi la longueur des-lobes de sa
caudale, q u i , est très-fourchue. - *
' ha crête mitoyennç.du brâne est tranchante et plus saillante que
lest latérales! Le* diamètre de l’oeil e k d u quart delà longueur de la
tetè-ftiiiêst placé dans son- deuxième quart-et au-dessus du milieu
de-sa hauteü^Les orifices de la narine' sont deux fentes-verticales,
r a p p r o ^ Ç l f une jie l’autre ef près du milieu "du bord anterieur
de llqrbilOia^bofich'e, fendue au quart inférieur de' k fiauteur de
la b é lis e porte, en descendant, un peu jusque'sous*'milieu de
’ f(^Eâ^mâ'cholre -supérieure à dans'Sâv partie moyenne une'bande
de dents en ‘grns^ velours, et à l’extérieur, un,rang:de dents coniques
,-espcées, dé grandeur médiocre: A la mâdhôiFé’inférieure
"il h’ÿV qu?uh’rang fie dents cofiiqups'stussi*, maïs plus nombreuses
et plus* serrëès'-qifà la supérieure. Àu rfffieîi sont fieux canines, du
double plus fortes que lès autres. Le sous-orbitaire, plus long* que
hauty^a *le bord légèrehiexit- coHVexe et sans dentelures. La moitié
postérieure du maxillaire reste à^épcmvert $ elle ésfc l'argei et tron
quée au bout. Le lïmbe du préopei culte est large^àon rebord antérieur
peu saillant, son bord-entier; spn angle arrondi. L’opercule
é t f e ro f iî^ p lu s haut *cjue W gè : son W d ' inférieur feà? oblique
et rectiligne; le postérieur a ume^éelumcrure en; fiemi-eerclè'ventre
defix>lo!bes: arfoliffi#Eé sous-opercfilefet finterQpercule soxît bien
découver&VÇe fiémieP§e contourne aiStbur db l’ângle du preoper-
diÉlF'Ik-n’.y afpas'fi-armure: particulière a 'I ’êpahlè.^ La pectorale,
‘longue", pointue et taillée en faux, ;esttr’ois-fois*.et demie dans la
' longueur'' totale. Sorï àttaché esfihutiers inférieur de la hauteur.
(Selle des ventrales-a lieu précisément'au-dessous ; mais leur longueur
n’est que dmfiers de .celle des-pectorales. La première dorsale
commence un-pçu p l u s * àrrièw^ que la pectorale; elle
■est triangulaire' ét- à huit rayons-ip*robustes,'dont le premier et
les deux derniers* lhhti.fbrtT"coû,rts, et* le'troisième, le plus long de
"tous, n’a qu’un peu plus du quart de la hauteur-du tronc sous lui.