LIVRE IX. SCOMBÉROÏBES.
ju: ; I)u reste, les.caractères des deux espèces et les nombres de leurs
. rayons .sont -les mêmes, f
D. 2 — plS1} etc.
L’individu est long.*dê six polices,
' Ce nest point là, comme M. Ruppel le dit dans son
ouvragé1, le tchawil-parah de Russe! : ce tchawil-parah
^ revenir plus bas.sous le nom de çaranx cilïdens.
La CarÀwgue oblon-gue.
( Caràriæ oblôrigus, noi).)
Un poisson de'Yariiçolo, rapporté par MM. \Quoy,,et
Gaimard, et qui'tient de près aux citules précédentes,*"en
diffère néanmoins
^,.pàr un eojps* plus alongé (sa bauteur^est. trois fois danss sa longueur
totale), par urie nuque inoms saillante, un,profil plus qbli-
quej par des boucliers assez forts, epjttviant tqutè la partie droite
U 4e sa ligne latérale, et au nombre de quarante^ au moins- enfin,
parce que. la pointe de son anale ne-paraît pas s’ÿonger, e<vmni p
celle de sa dorsale,. <pu, elle-même, paraît.avoir,, à peine'atteint la
caudale : tous caractères par lesquels il se rapproche des .carangues
ordinaires.
D. 7—'l/22yA. 2 — 1/19.
Ce poisson paraît âVoir été entièrement argenté, sans.taches noires.
Le nu de sa poitrine , a peu d’ôjtendue.
Sa longueur est de treize, pouces.
La même espèce a été*, prise à Oualan par M. de Mertens,
i.
i . Rappel, atlas, poissons, p. ie3.
■ La t \
(Larârix "ciLidris, nob.)
Le tchawil-parah dë fenslèl ( pl. i 5 i ) appartiendrait
aussi, à-cette- petite division
par l’afongiknenttdu premier rayon mourcle sa/ dofsalèy Son- corps
e s t’assez élevé. ,Sa fauteur n’est guère plus., de deux fois-dans sa
longueur^ Ses^x^ents sqnti très-fines, très-§er|;éês et sur, une bande si
étroite, qulqndes croirait Ypjontfor^/sur une-, seule fongeê comme
des cils. Les pointes dp sa Wofs a |/e t 'de* èon anale ne s’alongent pas
autant qiié dans Tes deux ou trois, précédantes1? Sès ventrales ont les
deux tiers'de la longueur des peetWales. Sa ligne latérale%e courbe
en f \ J i et .ne dévient pas dj^ûW^übitement. Les petits hôteliers
g dtes.çôtésrdç queue. f to .n ^ e n e e à ^ s ^ le tiers|.postérieür de sa
> a .'dorsale. |Op voit; un peu de noir Ù ,s,on opercule. Le corps
, est argenté, teint de yiolâire v e r sL e s . n a g e o i r j e | sont jaunâtres;
il y a , une ligne noirâtre fqra étûpite au bord inférieur des-dôrsales.
L’infor\^Ûedes rayons des nagëo§rg# est teint de noirâtre, et. iT y a
;ahs,si' uii liséré un peu noirâtre au. bord postérieur dé la caudale.
D. ip- ty21î; X 2 — 1/15-5 t ?11 ét fo!p- t . 1/6. ^ ,>
! Kotrê' individu rapporté d,é Pondichpry parfeu M. Son-
nerat, n’est long que de*quatre pouces et demi; Russel
n’en donne guère dayantagelir Feÿpècè. i |
t e poisson’" a été* aussi envoyé lié Java par MM. Ruhl
et Tan Hasselt. f
; La BELLE
« ( Carünôc spëbiosiXS, 'nob:; Scomher spèciosus, Forsk.) ÿ
Noms, terminerons ,-ènfinv c^t&dongoe^ énumération par
un poisson de la mer des Indes qui a tontes les formes des
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