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pectorale trois fois et demie. Sa* boùche |fst? peu“ fendue e t'n ’a que
des dents.très-petites, mais* sijBr* une rangée.^ excepté au-devant des
mâchoires, où la rangée est. double. •
D. 8 — 1/26 ; A. 2 -a-1/23, etc..-.,,
'11 n ^ a pobttt de nù à la poîtraie. Sa lîp^i latérale dèvièfit drÉkte
sous le milieu de la* seconde, dorsale. Ses écaillés qui sont âs;sez
larges, né se changent* en boucliers que vers le tiers antérieur de
la partie droite, et it^ r a encore trente ou trenïjè-déux de gcs
boucliers.
Tout’son corps parait avoir-été argenté. Son opercule porté 'â la
place ordinaire' urie tache noire très- sfensiblér "
- Notre individu est long de -neuf .pouces.'
NôUs n e “ savons pas b ie n dans quels°p3aragesJiPé ro n ,se
l’était procuré.
Le Caràux dit port du B oi-Geqrg£.
( Caranx geàrgianus n'ob.)' -
MM. Quoy et Gairùard ont pris au portjdu Roi George*
à la Nouvelle^Hollande, un de cés ‘ caranx qui rc ^m b ïe i
à . s y méprendre au luna é ï au platéssa
par les formé^, les 'dents, et les couleurs; mais,qui a.jescorps un
peu moins éleve et dés rayons plus nombreux à la dorsale èt à
l’anale.
Ces individut n’ont que six; à 'sept pouces.
Le Caraxx sULfc;
{ Carandc spleay nob.) .
Les côtes du Brésil possèdent aussi un caranx fort- voisin
du lunaf qui ne paraît même s’en distinguer que par une
É ^À P . XjVv GARANÏX v& J $O P R E M E Î^ D IT S . _ 6 -5
légère disffiéiï^©(ei dans lp. nombre.* des rayons, ètrun peu
plus J | | bià^ejié^de la;
‘;6a hauteurfèstrtflpls-fois déùs? % togfteuRv et son épaisseuf-quatre
fois^dâns % Héutesm Sà fête', dh'quart^d‘é lé longueur t© taie,; est I
d’unfcinqtâéïhe p l^s/lfU gue qiiè -haute.' Son qarbfib descend',bbli-
, quement-i sans a’arquér.. Sachoiiïche* nlé^pRS &ndu^j*j<HS(^ue-Apus
l’eeil. -Ses .deûts &<|nt,peti.tes ,.^aisjç^n%ues et d is tin c t^ Leur-^x-
trémitéÿie'st Un peu moïugpe. Qn^en* compte vingt-êinq^de chaque
' n’y eïi a que' quélques-ùnes en arriéré dé celles-là; au miheu,
et pointfdei bénde en vèloùrs^-Sè^ pièces operculaires, sa tempe et I
’ sâqoùV'sonb écailleuses ; mais le nu du museau rertio*të ën/pointe
4 sur féùfâne..Sès:p^otoraïes ^>nt en fausset 'du quart d e là longUeurl
totale, t é première dorsale U'W©n troîsièmfr aiguillon, qui esl le
' pldËIpng, deux, fois'è| démie Ùa^s’lÿhâUtéur'dii corps. La deuxième
et l’analeVonf'pas de pointe'saBlaxite', mais ^sont seulement un peu
: ^ | é ^ S ; e n avant; elles ,peuytpt.’s e | ^ ^ les I
deux James écailleuses qui s’élèVent- deS^deu® cô.t„és.de^leùr vBasé. Sa
ligne latérale, médiocrement arquée ,dans ^ u s , 1,| ^ | no^û^yde^saI
longueur, ne commence a devenir.'dr'one. que £qus le milieu dé la
deuxième d o r ^ le ;1 çhe * ne. pp£te que -, vingt t quatre à vingt-cinq
bouollets. > I
D.. 8 —1/26) A. 2 — 1/23, etc. ;
On voit une tache noire, jle grarideur médiocre, à la membrane
qu i remplit l’écliâ^ruyéÿde tbperculei Du reste, «^poisson parafa
avoir été a rgemè/teintaé plombé“, et'avoir eu fès nagbélrës jaunâtres
où gris.es. Celle de là, queue.pourrait ^avpi'r* été rp ü ^ â tre .
Notre individu-,^conserwe* dans lahqueur^esplongfdç dix pouces.
Feu Delalande qui fh apport^ du B r é s iln ’a laissé au-
c u n e .p o te su r les habitudes ni sur la taille à laquelle il
p am ô n t
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