M. d^Ijaeépèdé'ûavait-.asÿâ'g-iésl^esprèteë ^eonjmunG' «fÉla
Médkërraùjlë^gf uü Caranx de la mer Antilles, comme
nous le dirons. touÆ JÉl^ l’heure j dah^s,oW'^m^*ipI' ca-
ranxQmpres j' mais cette asâociatianlqBouve que le genre
ne peut subsister ,|pj ichtyoh^giqfeaèt le nom lui-mêmë ést
si mal, compos^ÿiqpé fje’n a i pa|ièru .devoir le eonseRvln;
j’ai préf^é, ppnr -faire, un nom ^générique,-latiniser celui
sous lequeLjon ,e^nÿîÿi^_poissons semblables-auxi cofcy*.
phçnesl dans Joute la Méditerranée.
Le L a m p u g e p é l à calque.
J ( Lampug'us phîagMyx;; * nob.1 )
La première fepêce isst^ ab o c ra it ç <$$0$ la ;MMiter-
jranéë^ elle ressemble presque en tpjat|‘à la cprWhèrie^sj.
r^nns^tpar^i petite taille » s a tête alongéêlët peu élçÿée.
Elle ri’a, encoreLété décrite exactement par|nerspnne,^ piàfsf
sâ rëssémblance*avec?m figure’ doiîmeepar Linnæus wapiiïs
le »usée d’Adolphe-Frédeïic, pl. 3o, fig'. 7^ ^ ^ u s le nom
de scomber pelagicus, ,est:telle que ^-mal^rés la différence
du nombre de rayons indiqués par Xiinnæus, nous- rie'
pouvons douter que ~eevâ#'î§<Sit un poissOn" jdd la meme
espëçe qu’il jait eu sous les, yeux, L expression m ëm e ^ n l
il ‘se sert, radii cir citer 4o, montre qu’il n’était,pâV^|ep
sur de 'Ion compte , et pour peu que son intlhidiu. l ut
desséché, il n’y, aurait rien "détonnant qu’il se fût s trompé
sur ce point. Ce qui est certain, c’est que si le scombep,
pelagicus n’est pas le même que cette petite rçoryphène,
il est du même gepre et ne peut en être élpigpéHI
' ,1, Sifomber pelagicus, Liun, -, Caranxomore pélagique, Laccp. ; Cjchlia pelagica.
ÏJ}, §chn£
- M.' de Lacép|À’^suppf®'sânt /co'mmë’|9 son ordinaire ,
sësL pl^ëûesseûÿslinfaillibles’ dan§* leurs classifications, et
voVanf^^yp d l^ h ran^é parmi lë^scombres, Fa placé, en
lui.cpnsênimt rQÛdnëtn}oc pélagique, aan^ ses^caranxo-
mares,^qu’il défini^-qçmme d,és SjCpm^rçs, pu ,dy^ çaranx a
dorsale, unique.Æautre Se*sp-|,pp^qu’il y. joint ,;§st bien un
caranx ou unéi^pole, mais qui ne paraît différer-des autres
queJ parce que, Feùilletéèt Aubriet, d’où il!est tiré, n’ont
^pb marqué Sà* première (W®-rïaleîf'^
Ainsi î'e genrë-4;caranxomorëj ne peut psfè subsister/
Bloch, dansfson système posthume' a fait du scomber
pelagicus .Linné une cichle'l mâjs ! c’est une dp, ces
classificgitipps' arbitrajres^jdont eetünuvragë, est plein, et
auxquelles un, vraimaturaliste.né^petit aypir aucun égard.
- ? Ce.^âitmrë: pélagique u été'malheureux en synonymes;
car^Cc^hidviùs |®t^phyl. m0-13 06) lui donne pour tel-un
equula ^|§eba, t. III , pl. ^ , “lfi‘^ l@ ,’ qui n’a qué'vmgt-
qü‘àtre':rayons à la dorsaffi^:';êt le korango de l’Histoire
' d ^ fyo^a’gel (t. III, in-45, ad pag. 3 n ) , qui a deux dor-
sâ^E eUn’èÆ qu’un caranx^ ®inme son nom j^êmùle dit.
^pmieuler ,,qonqeulejnent laissâi|ubsister ce rapprochement,
mais il y ajoute' un vrai thon, tiré de Sloane (Jam.,
pl., 1 Oflçnëlrévient pas d’étonnement, quand on
remontéfaux sources, sur la légèreté et l’assurance avec
laquelle’tant d’auteurs les citent.
Le lampugài- pélagique a sa hauteur près de six fois dans sa
longueUrl^^n} épaisseur deux fois et demie dans sa hauteur. La
longueur- de-sa, tète est cinq fois-dans celle du-corps, et surpasse
ftgsahauteur dé plus d’un quart. Le profil est peu saillant, et deméure
. horizontal presque jusqu’au- bout antérieur, où il se courbe pour
.former un muse.au obtus-^et,arrondi .dans le sens transversal. La