DES EÂSTEURS (N oméps^ Cuv.).
' M. Cuvierià séparé, dès sa premise édition du Règne
animal1, un petit’'genre de: poissons voisin '-dës^érioles,
auquel il assignait la grandeur dès: ventrales- homme caractère
distinctif; cë qui ,-elt loin^a’étre suffisant/lorsque
Ion examine la grandeur des*nageoires poirés' inférieures
de plusieurs _sérioles ,,;; notamment de Iap l riolé. à deux
taches bu de la. sériole deRuppel. Çependant le jt-o^ss/m
que Margrave^ a; figuré p. i5-3;, san's lui donner de^Bi^iu en
particulier, est le type d’un genre^diîSeombéroïdeseisoisiSÎ
des sériolesj mais nous lui devons dés ^caractères ; plus
précis que ceux qui lui àvâiëntété assigné#par M. Cuvier.
Il leur a donnéptz plutôt laissé le noni de pasteur,
parce,que, Margrave ayant cqmparé une de leurs espèces
avec le muge, qui se nomme en hollandais hardep p u
berger, plusieurs auteurs l’ont appelé pastor.
Les pasteurs se distinguent/îdes sériolèsjjjpar la petitesse
de leur boucheÿlèti parce que les dents de lcui mi c'hoire-
sont un- peu crochues, -écarl ées l’une de > l’autre1 ët-'Sùt • te-
seui rang. Il n’y à pas de bande1 de /dents en veloufcs ras
derrière. Ils manquent aussi complètement de première
anale, c’est-à-dire dés deux épines libres placées'en arrière
de l’anus. Leurs’ ventrales, plus grandes que dans ènci^ne
çériole, donnent à, ces poissons un ^pept particulier et
notable quand ces nageoires sont développées. Repliées,
elles peuvent, se cacher entièrement! dans, ùne»ssorte de
sillon creusé sous l’abdomen.
r Nous'iavons'ï(te^:pàsténrs des/partiés* chaudes des deux
Le
(N® m mê* M a u ritii, Cuv.; Havden, Margr.; p. i 53; Eleotris
Maùnitiil Gêronov$ n ;
• ‘i,Ji i ||i® ^ R a n g
■connaître 3. istoclvc^^ celui de Margrave
f qui I I I H W W H M m b i dw s m f e^ ve
lïésK gobies, avaint les rtravaux 11 H f l B i
sur les 'riwges dé'Tîle du P ® ® ^ * b n -i
G u in é è f^ è^ ^ ç fq u e ? ce ÿrii&ôn paraît* être du petit
nombre’ dé ceux qui trâ^ersent 1 Atlantique.
Le prMb’d u K iv ^ K \^ p a r
ensuite Ëéaucoup*Ss la1 qpiêue, de( la hauteur du
- la.1 caùdUe m’e'^ » d u quart de^elle'mesurée
au-dpvant d S première quatre! fois^ lu s
long qu’il n’est haut, L&museaq- est oÿtu|- f , fait
guères que le êÿqTiàme de ïa ïcmgueur totale. La bouche1'estpetite
et peu fendue.' Les dëntsH&oiit • fines ^cfeoehÿfesV-plaéées la^la suite
l’une, de l’autre sur.lWà^tMlfohoitès. Il-y en; a quelques-unes
f t sur—le* vomer et sur les'.paktihA; pies sont semblables à celles des
mâ tSo i ^ è s ^ . ê t ! s eu l / . r a n g . ; Lai..première, ,dorsalefe;st, p lû f
' Ja^seeonde j\Ws^aypU|; sÔ^t .gjêles. La caudale es.t four-
^ j $ K * è t aies lobes arrondis. La ventrale'fprme un grand triangle
équilatéral, d o t f chaque‘c f® égale les>fei| quMsr de la hauteur
d f/b ^p s. S^stiMW est encore augmentée par la large* membrane
, qui unit le dernier ràyon au- Ÿéniré.
D, i < ù W i '’Al:2/44'i G. n ,?P.''B% V. Î/B,- -
Les écailles sont extrêmement petites. La ligne latérale est un
simple trait. La couleur-est brune ou noirâtre sur le dos, et découpée
par de larges festons arrondis, qui tranchent sur 1 argenté
brillant et irisé Ijdpi pourpre et d’or 'des côtés et du* ventre. De