^ 2 , L IV R E IX . ÇCOMBÉROÏDBS.
en ^ t . exempt. Apssi cette secbg.de espèce, qui se iomme
à la Havane jurel, cbmme la premièrè, y est défendue
quand elle pèse plus de deux lignes, efcl’on n.e. permet d’y
"vendre au marché que les petits individus';'. Cependant
M. ï|©ey nous apprend q u e s e lo n certains pêcheurs, quand
ce poisson*est dans.ùn état dangereux, on s’en aperçoit
a ce^qnil a la tête pleine de vers, et,que dans Je ^cas
contraire il n y a aucun danger à s’en nourrir, quelle qrçie
soit sa taillé.
■ principale différence entre les deux espèces c’ést, que",celle-ci
n a point de tâche .noire à l’opercule; mais une,recherche minutieuse
y en découvre encore quelques autres. Elle a »eengtamment
vingt et un rayons mous à lac deuxième dorsale; la partie antérieure
et pointue.do cette nageoire est ivoire au bord • le jaune!dé toutes
Ses nageoires est ryains vif. La -ligné latérale a Sa" partie an^rigu-re
—‘ÿfes âlqueèy et auJieu de prendre par degrés la direction jHrxfite,
elle la.prend subitemeirç.iLe nombre dé ses boucliers va quelquefois
jusqu’à trente-cinq ou trente-six. Enfin, 2sa,' poitrine est écailleuse-,
_ .et non pas lîue comme dans W vraie carangùe. Elle arrive aussiU
un poids de vingt-ciêq livres. Nous" en ayons un individu de plps
dé deux pieds.1!
Il ribu's paraît que c’est ici lé véritable guara terebade
Margraye, car cet auteur ne parle point de tache ^ e ' à v
l’opercule.. Il est vrai qu’il Aie. lui donne que sept à huit
pouces .xle longueur ; mais il .peut bien n’avôir pas vu les
plus grands individus.
C’est Jrien sûrement aussi celui que Seba (t. I II, pl, 2 7 ,
% 3} donne compte le guara terebà, I e t même sa figare
est' ctrèsr-exacté!- M
-Nbus; ne. sayon^pas, an .reste où Margrave, a pris la
sienne. Elle n’est ni dans le livre du princç ni dans celui
S;CH?AP. ■3C-V'Ï%CA'RAMGWES. 75
de "Mentzel É|j§ dernier' Coutientécependant unë^très-
et 'iÿel. esp|;ù^fl mais /sans noms
DM M ltvBé-dm prînct' iAyg$fc> uney intitulée‘güarâ-
guâqu/ q u i iléus."-parait"|s’.ÿ r a p p o r t^ également. Il T 'e s t
'que lé*ioÿs^n atteint quatre p ÿ d s/d e longuepiv
§i ’ ■ ' •• 1 - * r
- Il faut remarquer, que; la 'premi^ ^ \d«sa le|^ ^ f;4^ fubli ee
dans le sv ^ n ^ ' figurêiij mai-s'^lé^ *p®i|s©nsi. d ^ c e g géfrreela
cachent s'rbien qu’il a p s t pas^tbnnant quelle ait 'e(jfappe
à deS <geuv>attentifs.
La .,
P : ^^UH3c-pp,isgmetus
Une troisième e s g ^ ÿ ^m .êm e 3%^ES>nomipéJà>§âipt|
Domingue frisquet ', ëMUCÿos^cojenudo mu epjinudoh&t
qp.e IpËlus^aypjfe aussi.' rpçue^au: Brésil',,
' . a.hS|oîps’plus alongé, quelles pBcedente|;^l-la nuque m o in s ^ -
r o n d i ^ ^ t ^ e tp u tjÿ g q u p ë ^ r e ^ c e qui l|p ro c h e le plu^du
groqpé précédent. Sa ha|mür est | | | lon_
g ^ o r totale]* elle aÿfe* taché noire à l’gàe^u fe n ^ in s marquée
cependant, qp a la vraie caràbgii^lFn y U point -.^^çanjn^|proe- '
nairientef^’Sa poitrine elPcxlMénsC L a 'l^W laèéfalè^eât 'd’âfeord
H faibferdèliC|rt|tféè'] éoïffme-dans Iây«à#ân|ue]]maflà1 die prend' sâ
dire*ctiIn'droite plus tôt eripresque sous le bord antérieur de la
. déuiiènfet<for sale ; aussi! a-t-elle dés boucliers plus nombreux.'On
peut* exj compter quarante-quatre ‘defe quarante-cinq. Les gointes de
sa seconde d‘orsàlë?et 'de*son àitfale proéminent*, beaucoup motqsf^
* D^S^tyaLjA*',2 —
J Ses nageoires S'ont verdâtres, et.il rfy* a! de-noirâtre que les
pointes de la caudale.
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