Selon cet auteur, le dos et la tête de ce vvolimrpq*ali jusqu’à la
hâatëupÿde ila-pectorale, r sgRtr.^-iioqp ^ uleàr chan gean t en
bleu ef?,or. Son ^ventre est blanc, „teint de jaunâtre.^La jdorsal&«et
le lobe supérieur de la^naudale sont bruns; le lobg inférieur est
couleur de soufre, ayeb'un bord brun, et les autres nageoires sont
jaunâtres. - , .
Tout annoncé que p’est-aussi le kirm desjArafeps-j-0u
le éçoinbér ïgnabilis 'd^FiWskal^p. 95-j fi.° 7 3 JfUtf-moins
ftôuis^ c:quil dit.ïde:'cé kirm ébnvient k’ribffre potssbni
mais ce-qu’i l ‘en ditASè' réduit malhéureuSem-ent âtfdès’
choses presque génériques.
Outré ce nom’ de Liïün que cC caranX^pOrtè à Djidtîa,-f
Forskal cite encore ceux de* cljarm oxi 'ê-irb, et ââsiire" <|u à
Lohaia on l’appellet korab quand il -pétte ,*«ot djim
quand il "tfsV’grand-; mais -ces" noms-*désignent -peu't^ efere
dês*ëspèËès_plus différentes que Forskal,ne l’â^crir. Tout
àtténtif quil étâit, il.a fort bien pu croire' identiques des.
paissons aussi, semblables que ceux qui ' éomposent^ce
groupe, surtout s’il „ne les^ a,pas vus à côÂé les uné-des
autre#.; Lui-même, au veste,.en fait la rernarque (p.^5^6).
Nous avons sous les yeux quelques autres -e^%Is^[ui
ressemblent à?cette première, et par coUséquènt'à la fausse
carangue, par leur ^profil arqué et tranchant *è-t par la
plûpllt $îe -leurs détails, et u%n . diffèrent qrte pur quel-
qües petits. caractères 'à peine sensibles, qu’il faut chercher
surtout clans la courbure du. profil, dans celle de la ligne
latérale, dans la largeur de ses.boucliei^^ dans le plus^ou
moins de proéminence des pointes d e la dorsale et de
l’anale.
■ L a ïm • F orster
( Cavanx] Forstèr &$Q.oh. ),
l’une ’d’elles, ^ëst Venire de l’IsléAié-France, dé la côte de
Malabar d'e Célèbes y de la ^No’uvëllè - Guinée j de !la
Norâvëlle-Irlande ét de Wahicolo, et sé troufe-par cbnsé-
qüent dans totite’ la ïnér^dés^ I'ridéi ;i
Elle"se'reconnaît à' ce quë Aon profil est èncaçèintoms relevé <jàë
celui dé 'Ia fàüsSe câniïigüe d’Amérique, par conspuent“ notable-
!-ment moins „que dans, notre 'fespèce précédente. Ses boutiliers sont
un peu'plus'étïfeâts j ouais il faut*yoir‘ces: trois .poissons, ensemble,
et,des individus, à peu,près de,môme taille, pour saisir ces ,différences*
A grandeur égale, Yespèce actmelle a aussi les délits plus fines
et plus égales; ce qui peut lui .fournir’ un caractère plus parqué. La
portion arquée-de" sa ligne latérale eslS un peu flèkluèuse. Son sbus-
brbîtaire çsvfi^ie et m'oças Haut a' proportion qu’au sem. Le bout
de la pointé de%à’-dorsalè est rioifâtre-, et il un liséré faible fie
çette teinte à son bord et à celui de la.caud&le. Le haut de l’opercule
est marqué d’une petite tache noire.-
P. 8-—1/20; A. 2-^tyl#,' f
Il y a trente boucliers, etc."
Nous avons des individus depuis cinq pouces et demi jusqu’à
un pied. -
Nous ignoions a quelle taille ils auraient'pu parvenir.
Jferster* avait .décrit et dessiné, à la Nouvelle-Zélande,
un poisson quil prenait pôur le scomber hippos%de||Lin-
næus; Schneider en aiüséré la. description dans le Système
posthume de Bloch’J/et nous en avonsTtrouvé la figure
dans la Bibliothèque de Banks. L’une et l’autre répondent
parfaitement à no,LFe',espécq actuelle.
L’indiviéu de Forstèr était fong de dix pquçes.
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