On peche abondamment cè;;poisson pendant* toute
1 anneë dans la rade de Pondichéry, .et on man^è
volontiers. Il paraît qu’à Vizagapatam an S t plus difficile.
M. Hussel dit qu’il n’y :f m ît -pas m Jes tables anglaises,
mais qu on legale pour les villages de l’intérieur.
L d CarANGUE A VENTRALES N 01 RES;
y| {Çjiiremæ nigripes.
Une espèce' de tarangue commune dans Iè? Igolfe du
Bengale est remarquable'par ses^longues ventrales noires.
M. Leschenault nous EE envoyée de Pondichéry sous‘%
nom de canm^pàréj étHussel l’a rep^sentle"^ M I M
sous celui d | rkàis-parah. Nous l’avons tro u v é dans le
Musee de Bloch, étiquetée scomber ciliaris et brama
melampusj mai^ ce, M M ni un seombre ni un brama ■
eJCsf*iih "caranx.
Sq tëtè^est plus petite, et son corps plus haut, .^m ilieu que dans
la plupart des autres. „Sa hautèur est à',peiné ^ u p f f ^ ^ d e m i e
dans sa longueur.; Les peintes de sa dorsale ét dé son ^nale s’élèvent
faiblemept.' Elle--a -les dents en fin velours. jgjgl'’o p e rcu le .'n&
presque pas éç^ancré, ...et l’on n’y Vo'it pas de tache disnhcée."'La
moitié- antérieure de sa ligne latérale est plus^cpnvexe’qùé î^d fs-^
elle devient droite sops le cinquième ou le sm è tiie '^ o n la
- deuxième dorsale. Les écaillés paraissent dès-lors,et s’élargissent
assez en arrière, maisVy prennent que de faibles carènes.-Ses pèc-
. tpralèsfSÂvien longues feux. Ses^entralès sont »©i^sf eCdûtda base
el le fbord extérieur blançsj elles, égalent les. pectorales eh longueur
et atteignent la naissance de l’anale. Rüssel, ne les représente pas
tout-àrfad| j^sez longues. Leur épine n’a pas le sixième de la longueur
dë leur premier rayon.
D. $ —4/^2; A. 2 - ,- j t /^ Ç . ß t e ht P. 1 9 . | S | ’t
Sa couleur est argentée et teinte de bleuâtre yers le dos.
Nous enîâvo'üs des individus- de huit à neuf’pouces; mais l’espèce
atteint quinze pouces, selon M. Leschenault.
Elle est, abondante dans la rade de Pondichéry et très-
bonne à manger.
Les deux épines de la première atiale sont petites , et
se-caChent aisément dans un sillon de l’abdomen : c’est,ce
qui fait que Russe!, qui d’ailleurs n’a décrit son poisson
que de mémoire, nie qu’il posséder cés épines, ce qui n’est
pas exact.
La CarÀngÇe ' Sien^tonnt ère.
(fiaraux meritalis, Ehrenb.)
Parmi les carangues dè la mer Rouge, rapportées par
M. Ehrenberg, ril s’en trouve une ' qul-lSÇ fait remarquer
par une mâfchoîre, inférieure-plus avancée que l’autre de près du
quart de la longueur dè la bouche; ce qui l’a fait nommer par ce
naturaliste caranx mentalis. Les pointes de sa deuxième dorsale et
de sa deuxième anale .sont foTl^ aiguës;- les épines 'de sa première
anale très-petites. Sa ligne latérale se courbe sous Te tiers antérieur
de sa deuxième dorsale, et'Commenëe*æ>se- caréner après la moitié
de cette nageoire.
' t>. 7 — f/22 ; A.325 f/18! P. fô j (G. IIP, etc.
Elle es£. longue' dè deux pieds.
■ / L a , Carats cïüe t il l é . -
* ÇCaranx tille, nob.)
Il nous, resfe, à parler d’un caranx des Indes, de la plus
grande; ressémblànqe,. ayec. notre première espèce, ;
mais dont le crâne prend une forme plus arrondie en dessus, parce