
Le C en trolophe l ipa r is ..
(Centrolophe liparis} Riss.)
Il s’agira aussi de savoir si ce n’est pas un de ces individus
noirs que M. Risso décrit dans sa 2.* édition, p. 3<j|75,
et qu’il croit être le liparis de-Rondelet , 1. IX , c. 8 ,
p . 272.
Il lffi attribue.un corps bleu, une queue épaisse, des mâ,GbpirieS
égales, une ligne latérale droite, des nagèoires demi-transparentes,
la caudale en croissant et les nombres de rayons sui.vansj •
^ B- V, D. 88j A. 2S--Ç. 22 j P. 14 5 V. ? ƒ ;J
niais nous osQns affirmer que ceédernier, nombre^^erxonné'. La
longueur -Ëfei cet' individu était de vingt-neuf poucégyfc demi.
Cette 'espèce, dit M. Risso, èst de passage au ntois. de
Juillet; elle ne j e montre, quejrarement et: dans les éfxrajc^its
où les eaux des rivièr.es débouchent dans la mer. On ifi-n.
prend du poids de dix livres. Sa chair est molle etfpejaeu
de goût suivant le's-pêcheurs de Nice, .qui lui donnent* le
nom de fanfre sans y ajouter d’épithetgr «
Je crois au reste qu’on auraitrde la peine à due au juste
ce que c’est, que le liparis de Rondelet, auquel M. Risso
compare son poisson. Il a bien quelque rapport. avég-Te
pompile pour- les, nageoires ; mais-son corps représenté*
plus égal de venue, sa tète plus courte., son profil plus
arrondi, semblable, dit l’auteur, à celui d’un lapin; un
ruban assez large (virga satis lata) va enrRrdite lignaTde
l’ouïe à la queue. Rondelet nënindique point lagratfaëur;
mais il dit qu’il est tellement pénétré de graisse, qu’il
semble n’avoir point- d’autre substance. Le nom de liparis
ne se trouve que dans Pline , et une seule fois sans description1,
et-si Rondelet croit-pouvoir l’appliquer à cette
ès^èdC/ cést qu’il le suppos’e-'li€riv^td?ésXB^î , pinguis. Il
a v o u e r oepériffl&,1hvoir ouï dire qûàûjourd’hui les Grecs
le donnent à Taldsê.2
Le CeWtrolophelIEvale.
WlÊ&entrolophus* ofîalish ncjib. )i
ƒ; Ifous appelons Rinsi^un p^isspn Récemment apporté de
la Méditerranée par M. Laurillard, qui a.to usi|es. j gara qt ere s
gep©Hque%dcSîfpréciédens; mais double corps es$ib cap. coup
plùs ramassé ?e p l u s . g r â n d e s , »
àa* Xfâûiéur, ïbpst’ 'que1* e t ? son
WânS5’Ji' tête ; irès^éMbl|ble<a celle
du çentrqlapÈe^»àÀc ? ê tè 'd ^ ^ ^ ^ plus eleilPeéroeil plus
î. Lav!LauMr* IP lb prend' ' le^Mart dè
1111« ^ e S ^ ^ t n e l i e p«?!J (»'iRapproche du'qüartVdë
^ emte W ù u ^ ir. Les dents,, |es.fines^^ ^ û-rys du préoperéule, et du
‘ soûs-opercple,“ I p ^ m e&^ p h t coïnme'dads olophes prdinaiïWf
La doï4alWés^trrs*peu’||gM|,,}tsuftout d e sapartié‘antérieure.
- Ellftia5 Six .-râyfens ’épiueûx^Torl^wMSs^^onTpj’e^derniers, siipàa-
p S u n peu pl^degrlpsl^ éïgnent âu x li^hnfî^OW sans' interruption,
< ( idruj^xmt au ‘nonraxWae Arênte-dèim ’ou tr.énte-troiâ;
■ ..les plus^ffingsjin’o4| j^ s lp^cinq^pi|Jde k.hauteur di^çWA au
milieu. L’aria-lg commencé sôfe le indien du elle n'a pas
plus dé malheur que là dorsale'•'fiffit à' lhmêriîë djstiincq peq& caudale
FàVi&epuème (lé' lïi'mligueur terape^et a ‘trofe jepïneV^^mr ^ ët
^ AÎngt-qiiaîfmÿ'jons mou^.Mm-cspat ë èmrengs nageoiresg ^ ^L\çaug
daté est un peu moihs'miit qup ibngj et deux fois ffioins épais que
Mut.*'La caudâîe ë’st légëfëbient écp’àncrëé en |t|c*eî du sepdemé
de la lobg^ëüPtwÉl^l 4H^â'.ffi:kêsé^t ràyfhk entiers.- Les pefciôMes^
-1. Pjlaip, 1. XXXII,'c. u . —a Q:Mfeiidëlet. p. ag^X in fine.
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