CHAPITRE XX.
Des StromaièèSj des Pdiomoes, des Loüvareous, des
Seserîns et des Kurtes. >
*• Nbus* ^rétmissdns dans qe, c h o ira } "Wf la fiu 4dh motre
quatrième tribu des scombérbidës', d e s ' q u i f
nent eu effetjîæcette famille patTïenrpprps nuoikfl|tiAvert
d% petilqsjj^cailles plus ou moins'perdue^ dans; la peabi,
« qui ont dÆpMcüms nombreux et- rëipɧ?!en masse* .plus
ou moins' glandulaire. La form^eompriméeÆte la tê.fe et
du tronc les japproche-as^Mjbien des eqryphètmSi mais
ils éii diffèrent par l^fs^foutcTs^ement du corps,
rto§K ÿEEOMAïftSBt^
Zrçwpcc en jrp c signifie un tapis, une tenture dérouleur
vapzé$k*£i l’on croit que ,e!est deiflà tpiu dérive^p^nn de-
Stromateitâiÿ âùnuê apparemment p a f les Qïjfts d l lgynte
à.un poisson de .la mer Rqugeyqui, an rapport?d;qÈhilon,
cité par Athénée1 c.ressemblait^ a la saupe If|ic avait- d&s^
lignes,j^^àes^air tout le
D’apres „cette indication, qui pourrait convenir à beaucoup
de poissons très-différens, Rondeïfil .a cru pouvoir
nommer Stromateus un poisson dp la Méditerranée, que
les Romains,moderngs .appellent fiatolaJt quoique, sa^réir-.
gemblance avec la saupe soit asse.2 peu prononcée,, et qu’il
Atfon, Deipnos'^0^ Yü, p. i»> jg|pji
.CHAR.1 XX.5 STROMATÉES.'
ait! sur le fjbrps non pésy'jtfes ligues, mais - des taches, en
pa#trCTtôhde!s ^ ^ partiëf^blongués, d e ’0&uleur; dorée sur
undond ai!gentré$<|u plomRé. -
Ce nom a été-,adbpté par Ârleaîfqt par Linnæus pour
le genre particttlièÿÇdont c^ppisson^est' devenu avec raison
le- type* p
/ Ce genaéïse distingn#d^^s;i#feirriille dëëfîSélmb éroïdes
par le manque des yéHtrales^||i|jar une>R©ï!âalte unique,,l:
dont. ta#ans5., épineux ,#en petit nombre ^"Sont ^cachés
dan-s; ^dfivjpiblrd antérieur, e'Éi’d^u^îesiriageoires- ver ti calesv
sont couve r tes d’écailles à la manière des squamipennes..
L e StROMATÉE ElATOt|g^v
‘ A(^rojnate^s Mài’olui Linn.)|jg|
Rondelet donne deux figntes;ide.la<fiatqle,'qui paraissent
lui. a’Voiri été; envdyCées. l’une; etd’autre de Rome v: la première',
p. .(îc£^7<) est faite d’après* un poisson frais ,1.-et ,les.
taches y.sont bien rendues^ .mas j^n4iYidu qui à :servt
de;modele-,;aios;tequë|l’a .déjà< fait remârquér'M, Schneider,1,
parait avoir-eü la pekbrale ‘du éoté droit reployée’ en
dessous j emporte qu’ell'éèe montre un peubsous la gorge,
<SÔmme si c’était une ventrale $ et yc’ëst sur cette seule
apparence que M& de . Lacépède a cru pouvoir crée&;son
genrp'chrysostrume^ qui ne repose pat "conséquent que
sur uneduadv-ertance de dessinateur.
- L’autre figure de Rondelet, p. 257, qu’il dit aussi'se
nommer fiatolè.^"paraît-, fvoir-’^e^faitë d’après un individu
desséché avec- sa; chair y, où l’on ne voyait que les lignes
A, SvsU po'sth. dfe Bloch', p. 4'9'3.?'*— 2. Lacépède, t. IY, p, 6 9 7 çt 6 9 8 .