LeV.écaillés, à..peu.-tprès carrées , .un peu arrondies »’au-'.ibûrd
visible, ont de très-fines k stries,- paTall'èles..aüx^poui?t’i|i!^àiS:qiii • en
divisent la surface par léursi reflets en cjùatre;epmpariiméns fctrian-
gulaires ; Il en a une'centaine sur une ligne dpn güudinalé. " Les
nagebijrep, verticales en ont de petites» La ligne latérale se^maeque
.'.par'une tubulure.continue *ét blanch^*» *
Ce poisson est ardoisé’ sur.le dos, et l’ardoisé.;je changêupar
degré en argenté blanchâtre vers le ^Vetitre. Lés nageoires »Vont
. noirâtres. Le tout avait. dansflMfrais uin! glacé werdâtré.., '«
L’individu 'est long-de dix-sept. pouces et extrêmement- g-rae.
L’anatomie du centrolophe épais - noiis a^montré* un canal intestinal
gros,'pl|é. quàtrefois s'ur lui-même et terminé par un^eefium,
fort élargi. L’estomac est un sac étroit ,t,dpn.t la pointetje.st^aussi
- recourbée en dessdus. Le velouté a . des rides nombreuses.' îSix gros
et longs, cæcums entourent i’oïificë du pylore. Le, folefeest^djisisé
en deux'lobes,-réunis,sous l’oesophage par ündlame trësfétrôke et
mince. Lé bobé'gaüche est te^s-yolumineux et fortemeni éqhancré
yers le ,bas ; le_droit est triangulaire, épaisj »et<îEo-ur^ il porte»une
, vésicule du fiel longüe et étroite. La ratéjest j'gfêsse ét tëndiie.->La
vessie aérienne iï?est pas très^grande.
’ Il se tro u v a it avère u n e tro u p e d e la r a é i iî e ^ ^ ^ ^ e ’ au-»
jtoijr d ’u n b o is f lo tta n t, c o ù y e rt d ’gnatifesr
^CHAPITRE ^T X .
Des y£s troderrrtûs^e t dès Pterâcîis:
■a BE-S.';
g - 5jges. poisàepfvtiénneùt auxfc e o mb les. e&
iÿ x zeusj le .géqjjef ajà feateterise r^sànenl par la forrAe
e)4 |ffie t‘ tranchâhte^di.là; îè te ^W ^ ^ B S j B >, pàr la
'baitche%ï§fêndu,e? leiirp‘pui.es,7
par leu-rs.. v^ntr,^e|^ëÆ^i^tojat par, leurs jecaifle^
r;ayiannanti d e , tout? GOin.0|!e; des.'p^iilessi'o.r -
dbplèsîfeçftte que- M. Bondlli
le p ra impos^Je nom g'^ériqü^'d-A^li^cler.mus, que néîis
On ri^Aq&flnail'^â^e' q u u n ^ p ^ ^® q u i même ést
frl’sira.rpl<et. n’allie dlkM^-ite gu^dfeVl;ef|lernie|a temps,
' ^ î M n ^,p|rlé le,premier dans un méîpoire^rjSf^^
^ r i ^ t u t l’appui duquel igiipu^ à
e n v t ^ f l e ^ ^ ^ E n natûr^ëh-jm 4fessi^i:f#priré^4’apfèè
le.&ais. Il le nbmmàpidms sm^phæna dedans. j
Plus réceiriment, en Bonelli nous en a 'commuÈiqu!
é unë’âfescriptioii’ et une!peinture*, faites lune et
B^lîaâoS«^ • sôXn- f \ \ t -
E n f in * B i Ê , en îBaÿ ’dambsâ a.e édition, en a'fait
un geiifitt qu’il nommi^ diana.1
\ L’individu de $[. Risso ayltit^fïPecbç dans les parages
|. Risso, Hist. nat. de rEtirb|jé*ta|rid., Éïïl, p. a6jrV