il représente la couleur- dé.ee -poisson comme changeante
en or et en bleu, avic beaucoup5 d’autres reflets, et des
taches bleues sur tout le corps. Ce. qu’il dit 'd©i s&dormQ
n’est pas assez précis pour, servir à la détermination de
l’espècèl
Margrave vint ensuite (en 1648)., et fut le premier après
Rondelet, qui donna une ligure originale d’un poisson de
ce genrgp^pv il l’appelle du «nom brésilien jd@%guaracapema*
jet. dit que les Hollandais le nommaient dauphin
(dolfîjn). Sa figure montre^un corps* pluSvOOurt et
une tête plus haute à proportion que notre espèce , de la
Méditerranée, et les couleurs pont indicjfüéÉS un,peu différ-
remment dans le texte : vert, glacé d’argent sur le. d^srfit
les nageoires, blanc au ventre et serné partoù|••de^ta
bleues de diverses grandeurs-depuis celle (l’un pois I ta lie
d ’u n grain d’orge; Get arScle^fest reproduit avec la mêiffife
figure dans Pison, page .48. La >figu?re peiute dû prince
Maurice-est conforme au texte pour des/çoufeursg ruais (çe
n’est pas elle qui est gravée. L’édjiteur Laêt ^elt^eiyten tç
d’une gravure différente et moins bonne, qu’il^ ^ E g é ja
ipsérée dans Sa description des Indes occident^s?, P-^Mk-
Une autre figure parut en 1680 dans l’Ichtÿologié de
Willughby, pl. 0 ^ 2 , fig. 1, mais sans aucune indic||ion
du heu de son origine ni des couleurs; elle est plus^alon^e
et a le profil presque exactement en quart de cercle. Le
côrps est tacheté, surtout a  partie inférieure. On.gmpte
distinctentent soi^apte-quftre rçyonsdï sa dorsale; maisrje
n’osçrais dire ,si ç.çst un effet cfej’atjtention du dessinateur
ou du hasard,, car il y en a. trente-six à l’anafe ^Lé/qui
excède tout ce que nous connaissons.
Quelques années auparavant, en 1682, notre çompa-
CHAB.1 XVIII. CORYPHTÈNES PR OPE EM E K1 f DÏTES& 2 1 5
trio»JBav$öt en avait desfih^;rói;^silrtla ïeôtfe’ d’Afrique,
et ^rëpa'îdit‘d|êsftnatériîaux foÉputiie sty ’ sMë &'• ?i öh ty oio gis t es
eû avaient' prë|l;é^^;ds©''figu^es3$ie parurent qu’en i |Rt$
dlâüi la - colWtionMê Stûr^hill j^e^ lune déMiisfre p r és e n te:,
à n’empas dpusÈefc, no,Ûé^bo^phæna equisetis f de so deux
autrésbgont plus? difficiles à d étérm in e r, mais plasie|trs de
leurs 'rqatae$y&(S* les rappÈOôhidaity de notre -ùorÿphcèna
dorado, ou -dë sniôtre coryplqmnpi azoriea. Barbot les
eoffifond ébattes! les - tffoiâiÂtl$ U*e nom de dorado. Le tra^
ducteur arïgteiè fit une confusion plus rfiûisïble , fem tradui-
sàtat qettioin' de dôfôld 0 pà^tfêëlui dë^^llhead, qui est la
dénóininat ion angLktse-de là daurad&t&è >'n.ps.‘»cêtós. *?’t-
-(tÆornoiliéî Rebnninr "(eû *$$7 *8>)ûrepifeedka-* le premier une
oôryph^n#iii^s Induit #©rt poi^syn, qu’il nomme dauphin,
fut prisqle'fejag^de la i oôfee 'de' Malab a r, - vis-à-Ms <Gan an or.
La tèfei en :es#^^smMâi^^fà la figuré« de Will»ghbÿf*Ââiis
le lédrpsKest? plus oomfpt. couleur ressemble à CseMë de
Fesptètti» de la Méditerranëoïi$ff Sis ont ^ dit l’aiïteuiiv) le
ventre;jaune, tacheté de bleu jusqu’aux'y-eüx-; reste
* en est d ’un bleu clai travée 'de^è%éhesf d’un blek-plus
dùtbkr de lar'téte-";4 ^les; nä^e'oires' 'Sont
« vi^tetfeë, vèrfes*1 é t blanênC#,1 avec* du jaune aux nxtré-
« mités, fce’ic;
RêltafÉf én î jf#4 j‘bn donna un individu dés Moluquéi|
à dbfpjleu uniforme, à venlriH èrangé-, ’tacblp.^de bleu ;
toutesŸles ^nageoires bleues, Adepte la dórsaldf qui est
violette. La fortilé'Éâ est encore %li^semblable i|s$ celle
de Willughby.1?
1. Corneille LebrWiï, VoySge par là ’Moscoéie et la* Perse aux lades orientales,
t. II, p. 3%5'fet pl. ÿ8g«‘— -2. Renard, 1.1> pi. aa/figM^ï.