salé, et s'arrête sur les côtes de la queue* y|sja;*%s de l?0s'eçqw%.
« épine an^g.. _
yoici l,es nombres comptés par M. Ruppel. :
D. 12/15*4 A..2/1Q.. ,
La dorsale épineuse et le premier ray§inïdie'là ventrale sont bruns1.
; La dorsale mulle. Gst .verdâtyç. Là pectorale, lfi veutra.lje, l’anale et
la caudale sont ; jaunes, plus ou moins orapgé^s.. Le^ lfèyr^SnSjQnt
j a u p â if e ^ ;
J Rage SaSj éprès yàRi^ê du pèrhdcentrèpénètuéf ajoutez : -
L e P!03ï-A.CÈ^TRE POftTE-SeÎE. '
-1 ";( Pomacentrus pristig er, n o b .),^
_ P p u s nommerons ainsi une nouvelle de Poinacentre,
récammentrapportée de l’Isle îidfê^Biance .par
M. Lamarre-Piquofei y ;
' Elle 'a mxOrps' ûmdùg.' ! os fb am ^ r”eSi'eontenuu ueUx fbilxlffl-k
^ eelte dîPcèrps, la caudale non-comprise. La-ligne du^prdfîl'wâp^-
rieu-à est'passez arquée- Lebord postérieur du sous-orbitaii;|;'^tTRéiifi
v dmgFépperculesom fortement dentelés, plus que cjamaut une autpg.
Les nombres diffèrent également de ceux de toutes, les autres espèces.
D. 12/15 ; A. 2/15 $;fî: n ;_P. 19 j
' Les portions mèlxds 'de l'a dbrsale ét creTânalèi et les lobes de_la
caudalç.,' sqnt -arrondis, Le premier rayon de la ventrale,, pst prolongé
-en filet. La couleur.a, été plus .oumaoins brune ou-blme
* fiancéeV vaille de VèAfatre.’ La portion "épineuse du là aôrSàle est
• brune, b ê t f r t e b leu -n ôirôwe. Getté dernière teintb'^îldre les
1 autres nagëp#ës. ; "
La longueur est de cinq ponces.
Page 3 ,ji. Addition; ^iantide du glyph&odon rahtkv'A
M. Dussumier vient de rapporter, un asse/pgrand nombre
d’individus ,de, çç giypjhisodom II mous donne tes détails
suivans sur s.esieouleurs} et ses habitudes. /
I lie c’ôrps-fest dWe beie‘;couleur jaune- argentée- sous le ventre,
et traversé'’ pàr cinq à six bandés noires. La tête eè fe's'nageoires son!
/ ;V;erdâjïres.'.
0e, poiss'én, eo rhmufi Bombaÿ, dévient ldng de dix
p o iiÿ ^ ^ tn s t un fort bon mangfe4 ?
'l^^feême nathTàïisîè en a teMVeHine’trôupe nombreuse,
nageant autour d’un ^oDêDau de bjÿsjflpt.tant dan^ te milieu
du golfe^de Bengale. Ils,ri’avaient toif,s(qpe deux pouces
Æupngûéui\
J croyons' èVcpre .fte%oir rapporter à ye rahte le
d e ^ t .pj'figuré par M. Wittchurch-
Bénne^t ri a u s i oJa&ricnle V. p l % poissons de^Ceilan,
, l ’auteur indiqu'ë^^g noqp)rCsvun ^ u . différens
d f lo ’usL ceux 'que . dansbcen é p ic és si( voigS^
Hès U P d ëC 'â u tr^ : ; Ê é ^ u l 4uVs> la pc&itiop.' des
Êÿncïe^eonvïennfâQt parfaitement à,|Cé que fa .pâture nous
offre; le'poisson de,.M. Bennett aurait cependant quelques
tacbes foires éparses et irrégulières sur lei çorps. Les Cîn-
galois - nomment eettee’espèce/Jfodeylss^ elle remonte dans
tesiM>viè*es'«skez loin. ded-eur embdnehurëy^ommél$ lltet
êpmmunémenf dans nos fleuÿés^des pleuronëctes , tels
<£ue îens flets, lés "soles, lés limandes e^Beaucoup ' d’autres
pôi’Ssbns. ' j - ' À- ‘
devra toUtln|fr ajouter'cé 'ciéfodon à la listé des
glypjiisodoris , si'les nombres ©nt été comptés exactement.