' La CORYPHÈNE. Û^IjESS,^^. ^
[(Sërypfacefià L'essonïij nob.)
A toufes^epS' coryjpiëûès .de r®'c^»|nous devons en
ajouter une., dont npusV avons trouvé l’indSce dansrun
•dessin fait par M. Lesson.'On lavait prisé pRj Jp^S^aV dé
latitude sud et par les ov ^ Ir^ u e st f à peu pvel&la hauteur
de Rio-Jahéirt)} ~
K observateur (qui l’a dessinée -,^compte ^çkiquante EaypnV à sa
dorsale*,' vibgt-trôîsà son anale, et représenta tonte sa parti# supé-
' - rieére- d’un- bien* d’azur, et l’inférieure de couleur-'-'d<a'pgënt-^anV
. tâches ,*\ët .il ajo.ute;que dans l’eau son ,corps paraît comme s’ihétaït
recouvert partout d’une teinte de^cgiyg^j&ife:^!
, L’individu avait vingt et-un, pouces de long. Sa chair fut trouvée
, excellente.
Ce poisson*jsfi.prénaît^si aisément, qu^bsuffisait d’un
flocon de laine pour lui sep^rvd’a^pât, '
L a , CoRYRtpÊNE ItAYEE.-p'
j. (Corjphceria v irg a ta , vmbbï.)s-(i/
Le dessin deî uôrvphënoj faitfîpar Plunperta la Martinique,
et donné par Blogh pour l’hippurush .$ e cou vient
à aucune des!.espèces précédentes-pour les- forme^trypn
plus quelle në'.ressemfofe'pour les;couleurs aux déscrip-
tionsme Margrave', d’Osb^ck ou de M. Lesson. •
,j|Oïi; profil.n’.est.guère plus arqgé que dans cglfë çle la,Méditer»
ranée; elle a; comme nous,l’avons déjà vu,*le,çfos bleu ou vejdâtre,
et tacheté de jaune; les côtés'de la tête et le ventre blancs; toutes
ses nageoires jaunes, excepté la dfflrsâjfe; qui es,t divisée, en }cj§ux
Uioitigs ; ççlle de 1r bas? jawé,. celle du bord
s- La..* fW|àAri^priainj^nnef^bLqbii ( pl: ,qûe, quarante-huit
B 8 ’jàl^qs. à, la>dâ^i'Met .vinigfui-üq^ àd’anale 1 qellejfd’Aubriet $ publiée
p-,*.pari AEmI® La^épgdllî.îé^ #tfhe quarante;,quatre et: seiz®. s *■ >
* M ^ 0irait pouToir^oinpter„
sur;lté&uisse; qui â^^rvdjjd’OTiginal à.çe^ de üxf gravures.
Pluptjer ne^, h^tai,!i-nulle^e^cj^tud^aux, nombres' des
l’oijihe pourrai.si^faia|p!und idée nette de cette
espêie^îsi-é’éh esü une, que lorsqu’on l’aura en nature
dfësj: An tllfes.n !
î^SjÿFôus n’avdhs point’ e n tw S l® f .a nous la? plfdfcurer.
La ryp h èn e Qiptffi j^’qr. k
KxÇCô,ryp^uena ehrysurus, L aé ep .)“0
Leâ1 c@fÿp'hëUes’'df^Iridés, telles que nous les avons
r.ëcdfe]r%wM.^ Eféschenault e tfdê*^M* Dussumier, ont leur
hautel®:^ îeompril^ six fois dans' leur longueur. Leur tête
est un peu. plus haute qtàèvïèfàgiiëi La ligne de leur profil
a peu de.concavité ou d’endroit plu&conve&ë que le reste;
e|j,R|%C0i*pbûrèï5!es|i un ai°G^rele moindre qu’un quart,
et qui monte :i|bliquenienti
M. Dtl^iumier nousvâ rapporté d'euxi dp cetf: coryphènés
de^la mer d5e‘s* TOKTjwcm^ante-huîil ëiÿ ciüqhante^nèuf
rayons dorsaux,^®'à4Viffgt-sïx à l’anale^mais qui n’ont pas
tout-à-fait les mêmes formes deptêtes.
La plus grandèl, longue pe< trois pjßtds six,pouces, a été
Jor^e par î dëgée; de latitude nord ; elle à ; D. 58; A. 26.
Sa hauteur. (aux pectorales et la longueur de'sa tête, sont six fois
; et demie dan's; sar*longueur totale Les lobes dé sä caudale y sont
Utÿbinq. | fia-rs^* |H
Sa tête est presque atissi-.haute que longue. Son profil serait un