sa hauteur ne fait que moitié- de sa longueurs Les épines de la
première dorsale ont .disparu ; mais-les nombre» de ses: autres
r^vofls, sagU- 1©S jaa«ndft .dbrsale , bbl j u d& jï*èsT- lopgs,
en filamens simples ^auoiqpë aÆeulés), au nombre df, fisa don,ç
le premier dépasse la eaud^é ,'et apule rajOns courts et bràncnus.
L’anale en a quatre eh filamens,'et douze Com^è^Â nràiièliut. Mmsi
l’on dmt'éuflvé '
H d.*2 4-1/18; ^ î t i i r r r F M
Les iouît^érS ^d# la^ li^re latérale hfet d®viénâent’ un ^ è h ï!l^rts
^ 'et leuirs:~pfeintes Un peu^ ai^E^-tpie sut les'éôtésfdé?i:a qüeue.?Sa
I eèurbure»est la même.-
| l'ont-Mp poisson ést argenté> à nageoires- d’u n ghls noiralÿe ;
$IS|Éj a .une forte .tache noire à l'operculé vers, le haut..
À la; Guaclçloupe on nomme cette espèce çarangue à
plume. Elle passe pour suspecte. -
BEpjG:i£ S ^w
®i^|Ss «Espagnol et les Portugais y qui appellent la Éôréë
{zeùs faber, 1j?). poisson-coq, gai, jziu^ etc., ont transporté
ces no^s èc^es poissons, dà^deux Indes auxquels41s trouvaient
quelque ressemblance avec la dôrqe ^et Linnæus,
d’aprèS; eux, a Jnserit dans son genre rzeus unejespèçp. à
laq uelle il a donné 1 epithète de g«//wj-; «pis*? àj^q^aple
d’Âïtedi, il a réuni dans les sÿnonynte^^* 0^ ffiffffijfrffflflf
indications .jælaave^àpdGS poissons de la mer d’Amérique,
tels que ïabacatuia de/ Margravei, qui est une argyréiose,
et~le rhomboïdes de Brown9, qui est un,.voîneijà nage,pirfef
■taeafeBjayu. qw* concernant desIfpQissons : de
J-, Itaraf. fBras. , ]f? R K 1 2. Brown, Jam !, f4
l’océan Indien^ tels quele zeus cauda hifurca de Gronovius1
Seba??, qui son« de -vrais gais dans le sens que
nous donnons’à-ce nctai y; en sorte Aju.il dévient d autant
plus ^difficile de1* savoir qüel destf*au juste le poisson que
Linnæus .entendait par'ce nom de zeus gpllus, que le
‘Caractère mémo qu’il lui assigne, ,né répond à, aucune des
espèces que nous avons pu ©hserveit et que tout-en citant
une figure de Seba ( t-^II-I^pL» '34 ), qui représente
un poissai des Indes,*; dédisait» son» espèee- d’Amérique.
Bloch a rferdorcé %ëtte aSSertfidrï^ én&i'ann©néant que sa
figure (p'k 19'2/ f i g / ï ^ qui- est* Vraiment efeUe du gal des
Indes, est'enluminée d’après les "peintures laissées par le
prince 'MauriefiS^Êti' il »a fort| augmenté la confusion en
ajoutant aux,synonymes déjà;trop nombreux, rapprochés
par Artedi et par Linnæus, le tétragooopterus tté Klein4,
qui est un-vomer à.nageoires courtes, le serduk de Fors-
kal5j poissoh de Malte que-Forskal ne décrit pas, mais
qui pourrait *bien être, lé gai1 trouvé à; Alexandrie par
M. ‘Ehreüt)e%,:g lt le kolliusintërnak des Groêialandais ,
poissonrdbnt*Fàbri^us ne rapporte;que le nom, quilm’a
même pas vu. et qu’il erbit^être le gallus, seulement d’après
Iâ‘ description vagée que lui en ont faite lés habitans de
té pays sauvage, mais qui ëstbeaueoüp plus probablement
l®§ lampris de "Betzius ou zeus lima de“ Gmelin.
^ r!0pfOfp^. Sfps.-yfcjfe p.IgsSv“ BJ, pi. 26,
S. Ichtyoî., part. VI, pèÆg- M. Lichtelistein, à g,ui'jCrine suis adresse pour avoir
des renseigneriieù.s sur < ce 'passage de BlochJ: m’écrit q'üc Bloch a fait’dessiner son
gai d’après nature; mais.qu’il^’a" colorié en-.effet djapr,ès un dessin.de la collection
du prince, qui représentait non pas le gai, mais l’argyréiose, et nous ayons vérifié
ce fait sur’l’original mêrffeau prince Atodrice.
4. Misefc IV., pl. 1 2 , fig. i # 4 5. JDescr. anim., pl. #S.