Le Lampegk b e SiciLe. t
( Lampugus Siculus, nob. )
Les côtes êé la' Sicile pourrissent 011 iampuge que nous
lié trouvoitô aétrit dans aucun des autè€rs qui ont parié
des poissons de là Méditerranée,' et;oui Plfeer.'un' ptô»f!)
d’uuç hauteur s * i termédiaire entre la corTph^ne de la
Méditerranée'; {corrphæna hippupus) et le ianipuge pela**
g'ique{'scombèr pelamcusj lino.}. Cette nowvv-P*:* c^|sèce
Üe ces deux genres et rend leur séparation tskcÀsar trcv.iàée.
.. -En prenant pour base une ligne tracée par le centre de F te il et 1».
pointe antérieure du maxillaire supérieur, on trouve que la ligné
du profil monte en ligne rirent© jusqu’à , »occiput', en faisant un
angle qui n’est pas le quart d’un droit. La mestire tiu mérite angle;
dans la coryphène est doubleT et il est plus petit dans le sco'mber
ptlaghmt. Aussi trotwsMM» u pnûMfimiuÉe'.èçpète.frontale encore
assez elè;Üf Loril est prieé & peu |*eès vu 4d là t u t e u r de
i* fdoignê'du houi du M sOrïriiiâîiaè&é
«ténu cinq fois irfutffe longueur dé1 Sa
• est. courte WÊmtemént du sixième de. la 1ongueur totale ;
les pectotaies sont un peu plus couines et plus échancrécs- en taux.
La dorsale est à peu près de même forme, et basse comme celle
du lampe je ordinaire; mais elle a quatre rayons dtf moins; l’anale,
an contraire, en a deux de plus.
.... B. S D. 54$ A. 21 ; G. 17 et 111- p,*Xj T. 1/5, • |
Le» „ouleurs du poisson conservé dans l’eau-de-vie, sont du
plombé noirâtre sur le dos, de l’argenté sur, le ventre ; qui est
tacheté de bleu. On retrouve .çes. taches’ sur le fond noirâtye de la
dorsaJty ÏMjcaudale est grise, lt/reflets argentés; les ventrales sont
bleues en dessus et blanches en. dessous. Mais ces couleurs së sont
altérées : observées fraîches par M. Biberon, elles étaient, bleues
argentées sur le dos, sur la dorsale et sur les pectorales. Les flancs