CH AP. X V I I . p a s t e u r s ; Ml5
(p.. 66 )y et le gobiomore Grorïovien de Lacépède (t. Il,
p. 584*). .Cependant l’un des motifs de Gronovius, les
cinq rayons qu’il /dôjmptait. aux branchies, est faux : il y
en a.\sept,j''comme dans .les séri©lè|^ les caranx et les
Iscombres; et Vautre:, celui de l’adhérence des ventrales par
leur bord interne- l’abdomen, est commun k presque
toiwles poissons de la famille. déSÎ scombéroïdes : à ce
degre. il a lieu, nommément dans toutes les sérioies.
Selon Margrave , cette espèce! n’arriverait qu’à sept
pouces de longueur ; mais foriginal dloii la figure est tiréey
et que ndus avons vue parmi les; peintures du prince
Mauricel( Ziè. princip.^k. I l, p. 386), porte ces: mots :
iÆ / ^ |c0mîne ua s a u m o n q u i semblerait
indiquer une grande taille j si toutefois., comme f observe
M. Lichtenstein / le dessinateur n’a pas entendu par ce
mot de Salm un jeune saumon : l’adulte se nommant
Lachs en allemand.
Le P a s t e u r d e PÉriëîr2i !V
^L o jn eu s Vçropii, nob.) .
Péron à rapporté un petit poisson semblable au précédent
,
mafsflf ie fond est d’un argenté1 très-éclatàùt. jSes ventrales portent
sur :ün fond blanç deux bifides tfansVej-saïes noires. Son prcf& és|i
' moins arqué qu’Àù pasteur de Maurice.
Les individus, longs seulement de deux pouces-, sont trop mal
^.conservés pour que nous doinnions le nombre exâct de leurs
; ; rayons. i.
i . JMrfeiïsteing l^cadï de Berlin, 1820/p ; a8&