nous,montre le corps également argenté, et les nageoires,dorsale
et analé bleues grisâtres. Vers la, pointé supérieure de la dorgale'on
■ voit une tache ,ou un ocelle bleu clair. Les pectorales, èt la caudale
• sont jaunes.
. L’individu est long de deux pouces, quàtrë lignes.
L e P téraclis' trichiPtèré.
( Pteraclis ;trichipterus, ,'nobj ) r ,
Un second ptéraclis j rapporté nâr les mêmes voya'geTtfrs,
en le precedent , nous à ^offert les.
différences .suivantes : ‘
, Le corps est,plus alongéj Je-rayon le plus gf^s^|le la dorsale
est le quatrième. Il est plus large quelle troisième de llçspèpe.précédente,
et les autres rayons sont au contraire beaucoup^ plus
_grêles». Ils ont l’apparéncé de fins' cheveux. Les nombres sont plus
- ' considérables. Là caudale est plus longue. Kg
D. 50;'A. 4 4 , ètcr.' -
Tout lé corps paraît avoir été argenté, et la couleur des Hagedîres
ne paraît pas être si trancnee sur cefllrdû corps.
L’individu est long de trois ponces et-demi.
MM. Quoy et Gaimard ne nous: ont fourni aucune note
sur ce poisson.
L e P teraclis dj: la Caroliste; \
( PteroÆ& JÙwùJinkç> nob.) ' r
Enfin, nous devons â M. Bosçde troisième de nos pté>
raclis. Il l’a rapporté de la Caroline.
Il a la gueule.plusJfendue, les écailles plus grandesj le; quatrième
i rayon de la dorsale, est sensiblement plus gj?@s que clans les e'sp'ëcëS
-précédentes. Les autres rayons paraissent aussi moins grêles ;; ceux
défia caudkle;spnt,plus latge^sj;enfin, les nombres diffèrent èncore
de- qeux ( dgs . < j
/ D.'}52;;ry%44, -èmi^
«|i&ôùs., pe pouvons,!-rien ^dipeifocfe/la$-hautçur ?de (la^ dorsale et dg
Variais parée^ufôtleà îsffi®^^^Jï(È9ît mutilées" dans; c'et individu.
Sa. couleur paraît effe ’un a'rgenté uniforme, âvec quelques'reflets
Bleiiafces'^,. ,
Son” ‘à» fourni les observations suivantes : la cavité
abdominale se li^l&ëmgéïafl^^sSûÇdl Æ’anîde, à peu près jusqu’à la
momèdfe/la longueur'du garas..Le foie norus, a parnhêlit-et composé
d’un seulSlofee^pIacé uà^^Ê^m^c^Bre gauclie ; malneureusément
il» Tétait f gàté&gll mo.us rfaveonsJpn;jugèr. dé)sàj forpï^tnilld® sa figurer
Le canal iîitës’tinahéta^fuien entier. Il nob®. a-'inpiaferé un ms^ghage
,court^et'continué en un M^^M°ng: ef étroit1,, qui^est'n^tp;Htac; ses
''pafo®^^)rft mîn'ceg Ifintenêûr. Lalpamhé .ihontante naît
! auprès ou uaraia j* elle - epTeplmpï* etiPe^parois^sont deneaiièoup
pjMs-çp'aj^'s'fiüm <ÿJ;Uvj.4(}r l'estomac. ïl.y a six.appendices coeMlés
la première i ’„ 'in n « -«i !» iiii imiji j>11 1 .]<>1 1 n qui
d-'èstb1cHac’pl§l^éc!^S‘ê' ieStr âë l.iî^éhÆ-l'ifngneiij'1<|?re"cfiVr^èër.e;.lès
^utàéà^îmmùèttt^Mcèes^ivem ent j fisqifà'fa de3diroit‘e, qui
n’à'!àü^pjus quêfflë^qtiafèldé la“ltm^iiëwlJ3é L’ïntéstin
' ëstT^fegoit'^maisifaAseî? Jongfi il ‘a^cend^Joequ’à la phirite
'maç-^^Mil'rëmome^sî^né sôiîs,le'-tp y !^ ^ ' il sé'rëplïS aff nou\tëau
l’arrière djO’^Uoi^m- ; mais il ^Pcontoiarnè^tAlë aussitôt ét
remonte ^mis la Igorge' nopr d'ébnuehep-,'.à fl’anus., fîfette partie de
l’inreStixi fait- quelques*sium&n'-v linïïqiluge ^ tnut'près cm
diaphVa^àé, i l ^ Éîià'ê||ièS-déti'fe wssi^lfrieUÙé'uvale, quf/brille
d’un .'^ëL éclw ’ïl'Sr^eiiï* ^fibli. <pvdnj> trouvé '’des débris de
pofsspns'jffàns ' sonoéstonfeë.
L’individu est long dg; quatre po,uqeSa
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