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A. 2S; G. 20; P. 20; ^&*bien que plusieurs dê;*Çes
nombres soient mal indiqués, surtout celui .•âP-J&nal#?
on ne voit pas trop d^ncord entre eette espèce et celle;
dé Forstér.
On pemt voir dans nsotre chapitre des centroiïoteà, par
quelle*erreur ce scomber Ascensionis d’Osbeck est devenu
dans Linnætis le scomber glaucus.
Le Garakx gris.
(Caranoc helvolus, nob.; ÇcOrnber helyolus, F o r s t)
Une autre carangue du même parage a ete nommée.,par
Forster scomber Jielvolus; mais S.cjmeider en a placé la
deiS|Qfiption squs. le scomker carolinus* qui est un cen-
tronote.
T,.a eottübe de son. crâne est beaucoup motos connexe tpife dans
la précédente. Sa ligne latérale m devientdroke que S8WS ié milieu
deda deuxième dorsale, et ne prend pas* de èewék^s aïi^i ^M d s .
Ses deixts.ioiàt pentes, serrées^ son est le couleur'de
nacre de perlei-Sa première dorsale^ est^ânguüèresaient petjte. Fgjrster
donne ses nombres comme jl^u k : D. 6 - ^ 2 9 ;À 21 j.C. 20$ I?. 21 ;
V. 5 j et àjônié que l’anale n’a point d’épine, ce qui est.probable-
- ment erronné.
Schneider trouve enèore au icoiriber cdperms de Forster
de la ressemblance avec Xhelvolus j mais ce scomber
capensis 1fest autre que le temnodon^ ainsi que nous le
verrons*à l’article de c f dernier.
Après avbîrdoitné ces deseriptioh® des carangiies de
l’océan Atlantique, je crois devoir "leur comparer lés ea