soigné# avec le scyris1 de’ la mer Ronfle et ^dé là mer des
Indes. v
fl est sensiblement Hauteur n’est qué dèuVfois
juste,dans sa longueur totale.. On parvient/avec‘un peu d’attention h
à relever et à faire ressoirttfpeux ou'trois des |rès-petites épines
qui sont cacîiées dans le tranchant de son jjlçssv Sa dorsale n’a que
six rayons* prolongés en Qanims, tandis une ré^ècejdçs Inde^pq
.a neuf. Le nombre total des gavons est au contraire plus considérable
dans !f espèce d’Alexandrie, de trpis a là dpysalelet ^de quatre
à l’anale.
d. ts»y Ü ^sPpH P M f M I ■P
’ Les fifamens des premiers raÿôns de la dorsale et dfe^’ïmafe parussent
aussi plus fins : ils finissent par l’être plu^qûe dés, cheyeux.
Pour toükle reste il ves£ difficile que deux poissons Se ressemblent
davantage '
Notre individu estvlong dedixpouces.
M. Rang nous eit a^èn^oyé^dti de Gbrée que je~u#peiix
croire dune Autre éspèfeè f quoiqu’il ait
un filament de moins à là”dor|aFe,' sayoic s ix f|iïlem e ^
néral un rayon de moins tant a la dofsale qu’à l’afiafe.
k 'f 2lj'A.v^ i y î 8;: ;
Il est long de sept pouces d’un fiel î# p n té j les nai^ôii’é su n
•peu jaunâtres j le bout des ventrales pointillé de noirâtre.
DES^FtÉPHARlVî ^
Iæs blépharis ont de très-pétites épines a leur première
dorsale ; les premiers rayons de la seconde et de- l’anâle i
i Î^Zttosunans, Bl., pî. içfôyCïmêl., p. laSajShâw/t. lY1, part, u , p. 283.
Le tie Icmgs-cheveux, Kàfcépy t.tV> p.t;5 ƒ$?.*' '
prolongés en fils déliés, les ventrales très-prolongées, et
le - profil tranchant, mais courbé en arc convexe d’une
élévation médiocre. Ils sont du petit nombre des poissons
dont l’histojr^ l t la synonymie ne. donnent lieu à aucune
disSssïoii, pir la raison qu’il n’en a été déérit encpre
quumseul et par un seul auteur, duquel tous les autres
ont emprunté^çç^qn’Us, en ont dit. ||
Gest Bloch qui l’a faimconnaiitre (Ichtyol., part. VI,
p. 29) , et il en adonné une bonne figure (pi. 192), d’après
lin individu qui lui aVaTt ^été envoyé de Surate par le
docteur Koeni|;
Il n’en est question ni dans Ÿalentyn ni dans Renard,
et cependant on en trouve aux Moluques une espèce au
rapportée de Timor;
mais il ne^paraifc pas qù’il ^ n pénètre dans le , golfe du
Bengale,*ou duuupins ils doivent y être rares,-puisque
Titus n’ett avons point re^u»éê i )ondicbéiy, et que M. Russel
nen a* point parlé. Commerson n’en a pas non plus ren-
edritrl à l’Isle-de-Franc’e , ni M. Ehrenberg dans la nier
Rouge.
Le Blépharis des Indes.
Ç^epïiçirîs‘ iridicicS j nôb.)
Nous allons décrire le blépharis rapporté des Moluques
par PéTOii, qui pourrait bien n’être pas entièrement identique
par Tespèce aVëc Céïuî de Bloch.
fiofi'cdrpè peut êtrà éoiSparé à fin rbombe, dont le museau et
la queue forment deux angles et-dont les "deux autres sont, l’un au
jj milieu de la ligne-;du dos, l’autre au milieu de la ligne du ventre.
La dorsale et l’abale ^occupent les deux côtés postérieurs, d u
... diorfibe, qui sont presque .rectilignes 5 les côtés antérieurs sont en