LIVRE :!'X. D#£
Ob ne hd* voit, nulle* part de taçhe noire.
^Cm particïïlièremenV'cetfè'esptçê 'que l’on peut ^croire
avoii;-été représentée par, Barbot (p lts). sû,us le nom de
cofansOo . ____
D’autres dç,çgS, caranx à corps élevé, mais à-profil droite
s?e. font remarquer par cette circonstance que'leurs dents
maxillairesXont non pas en velourf ou en cardes, comme
dans'; t^UîS tes précédons', mais, sur une seule rangéesdis-
tinete|?, égales, 'le. plus Æmavçnt raousse^ g leurs palatins en
ont une bande fort etrmje en fin veloqrs; niais àu-dey^bt
du vomer plusieurs les ont jsi petiÿk, ou les perdent sî
aisément, que l’on peut douter quelles y^p^^t^caffiac4
-1ère ’qui j sïl avait -été-constant, nous ddtermi.nB§&
çn faire .un-genre à part. Leur forme générale .est oblôngue,
éleyee. et comprimée,' comme dans les esn&ies! dont," jipus
avons parlé immédiatement, ïauroguttatus elles suivantes,
mais ils. uon.tpas de nu à la poitrine. Il y en a upe espépe
dans la* Méditerranée,
.i Le Caran^ lune, -
( Çajççinçc luriçij G;epff.) •
Mv GeoffroyrSamt-Hilaiiëp qui s’est procpré cèttevespèce
à Alexanclne'‘,!ièn a publié’Une belle figure, dans le grand
ouvrage sur l’Égyptè (Zool., ppiss.^ pl. 23, fig. J ) ’ spuS le
n omc a r a n x lune, pt en a donné un individu et,un
squelette au Gabinnt d u Roi3 et son fils, M. Isidore Qeof-
froy, eu a ‘inséré la description dans le texte du même
ouvrage.
11 ^ a -W W e ^ t tr - o i^ ë u c î^ f it e dans sa longdeur. Sa tête, d’un
.quart plus longue/quÿ%aute y qsf quatre fois et un quart dans* la
longueur et.presque
„en neue droite'. Son oe i l i a t o i l i e ^ é la hauteur-et de la longueur,
^ i i l e -un * Ginquiinii'ÿe la longueur. La fente, de la'bpuçhe ne
prend qhe'mVÿéde l’espaçe^jitre le museau et H | |
le maxillaire; qui èdûpé^çarrémeïït, va j.üsq^g sous le bord
antérieur' de? l ’oeil. Ld.m^aUiésf le ^ em e n t renflé en dessus. La
mâe^oir$'Smérièûfe^dépasse’-à peine Fautra’ Chaque mâchoérea
une rangée;d’ênvir’dûiquarante dents,petite^, cylindriques, a pointe
mousse, bien alignées, et-'d,^eçe-celles du'milieu il y en a six ou
h u i t p l ^ ^ i $ ; à , l a > |Ch o h f 'ÿpêÿieurej et quatre très-petites a
l’infeneure, qüi- se cachent même dans l ’épaisseur ÿ , la gencive.
' La "pectorale est quatre5fojs et* demmfdans- la longueur , c est aussi
.la meaqre dés'lol.es'de U4feaud|lé La première dorsale et le devant
de la Quatre fqïsr dans la hauteur.
. ■ D# g c_ 1^24;'À. 2 f l entiers et quelques petits; P. 1/1*9 ; Y- l/f>.
1 Sa iignélaterale demeure à peu près parallèle au dos jusque sous
le tiers postérieur de la deuxième dorsale, Qu elle devient droite,
îflÉ p en d des boucliers carrés et carénés,-au nombrede vingt-six ou
vingtrhuit. Il paraît argenté et 1 ladaqhe qoire a l’endroit ordinaire,
quoiqUe la figure que’nous venons d e ^ e r tiç la marque point.
La longueur*, de nos individus est de onze^pouces. . ^
Son'squelette a tous désgçaractères dèr cefui d ’^ ^aurel, aux
différences près que produisent celles- des .formes, extérieures.^ La
- efêté'mitoyçnne s’élève beaucoup au-dessus des externes. Les cotes
çmbrassent presque toute la hauteur, de l’abdohien II a trois inter-
épineux avant celui, auquel, appartient l’épine couchée djx vertèbres
abdominales, dont lès .troispu^quatre dernières, et,surtout
la dernière, ont les apophyses transverses dirigées vers..le has^
quinzl caudales ; un grllra et fort i'nterépineux pour les deux épines
détachées avant l’anale. Les interépineux de ses rayons mous sont
distribués avecbeaucoup de régularité, deux pour chaque apophyse
épineuse, '(piwdM