et- fa nommé ohgopode\ a cause de la petitesser des 'V,ej!É-'
traies dans l’individu "décrit. par Pallas ; mais Bloch* ,et
Schneidera ayant préférencejj nom- # ê pteraclm&mmme.
plus ancien, nous crop^n.Sî,devoir suivre leur exemple,
parce quil jiôrte ;s'ur un caractèîjè .réel, tandis. que celui
d?oligopode n’exprime quelle .résultat d’üné mutilation «e#
eideûtelle. g
Qn.a du naturellementvser demander, à Faspeeteïd’unéjs
structure aussi-singulière, quel peut eft»$tre l’usageV* çt à
quoi ce pèisson peut employer les hautes voiles verticales
que lui a: données la nature...
*• Un. si peitit eorps, si élevé et ,si comprimé*,, avait-il HèsoiSt
d’iin appareil aussi étendu pour se maintenir en .équilibré
S?en!sqrt-il jhawr prendre le vent comme Yhistiophà
- Pallas va jusqu’à soupçonner que les deux nageoires
lui donnent la faculté derséléver et de.së soutepiè. queL
^ e s ihstans. dunscrair ;: il ! faudrait àkuv.quil vol^itisur de;
côte comme les • pléürone qfëls' nagent. V
? • Les observateurs;quijrencontreront des. ptéraçlisi vivans
é ti^ ro n t témoins .de leurs' mouvemons,,imourrônt^fuls
résoudre ces questions. L’espèce eû' ëst malheureusement
si rare:,> qu’on ne peut sfe flatter d’obtenir de. long-tëmps,
çessfgpjonses^v;
s Le Cabipet du Roi ne, possède que trois ptéracli§,.dànt
deux ont été apportés de la mer. dès Indes; par MM. Quoy>
qt.Gaïtnard; l’un -d’eux a,'été. pris dépis! Je';&qisinâge de
Madagascar. Le troisième est dû à feu Mi Bosc, qui assu-.
rait l’avoir rapporté de la Caroline. Pallas n’eu avait vu
. }. Il lui-n}e des ventrales ,• et .ne J ni .donne que six .rayops;aux ouïes. .Laçépède,
f, JI, p. 5i 1 , 5ï3 et suiyantes. xf£ 2 . JJloçh, ^Æt. ppÿ^./4 4 *'4 é’Sebneidçr-,fô.f i43,
qu’un së¥i■ individu ^Ièpîé6h,^*ednse‘rvë i dans le. Cabinet
d J'L e fé ilî^ ii Ion1 n|tfgfrlpaucu®^^<!t:^ dl'^on origine.
Il dj^^a mef^^^^^IndlesC^tout ^^^^onna&sànt
qiît|* jamàis tree ^ans .c,^ nombreux
recueils ^ e niis? des liidçs^eju Ifollande. /On ue^la^jipit en
e * ^ S j| dans Repard ni; ^alqkfin.
«l|fj ^ a.idroikdndivM^^éxamibSà4ëyèf-,plu'S' grand soin,
nolks 'îlùfe'parn offrir rà©g|d^é|én?c'f0spécifiques, soit dans
teUKîifornîë^ soif» iB nomire" de - î^àrï? raydiisi Wôiis
aiion§rcoihînfe^eér par d ' é p i i qûi èst lë inie^M-éon-
sé^é'^no^s'-i^^Pom^MrSK'^Msûite lj||f deux' adtr^^* et
* ab tis'cl^ fcb®^ a^ffitërmint’É^jpv ra[i-bti^s qui existent
p n t.r^ éesyôS'P èçes ét qe|le de Pallas et .^S'Gronovius. g
L e ' PTÉRAGÏ,I^€™iLÉ;*
uob.
■' Le S" kël^^èolo^istes à" qui n^p^'d»ons nbfee pVehnèïe
espèiiLl’ont rètir-lÉ de Fèstoma^ d’une bom*t| mise dans
le. can^l - de Mo?ambiÿ|® le^btjB Uéçembpe 1828, par
trente 4ôgrés,'de la titü d « u d . Le venait d’être
avafe;, *de mani|iê qu’il e$t; ën'coÿe tr^-feaisî;,*? •
Ra hkuteh&^^^èoV©rales n%Vq;ue trois fois’ et un quart dans
sa hhjgùeur^ ? ^ ‘ ( - „■ . -
; ! §on épaisleifr n’eèi que le si^èMe ®ê cëtïe hauteur. A partir, dp.
1Péef point, la ligne du dhs ét celle dd|’ventre se Rapprochent graduellement
jüs'quà là*'-0^1 de la caudale',"où la hauteur n’est plus
que du‘dix-huitième de la longueur ' du qÔÎpS; Le profil du crâne
1. LÉù fiffùr’é"drê*PaUas. là fait pl^^tonguef quktre^foistëè^çîiâlâ hauteur; mais,
d’après les .Viesùref-tpi’il donneten-chiffres# ceùehigûreîest trop, longue?..