CHÀ-tèir'xyni^çwiROLOPHES. 255
ail lien (^trente-trots, mais^ofeableme|it aiis^i par une
eri-eur cjî0 |l%iâte.l '. •> ‘ |
M /ri^W ip aE a k i^ o -itA fè ^Â l11^ ^ 115 de la meme
HHMHMHB même taille que les ,n§txe$j?ijont il marque
les? iiomb re c o mqfejl s uit :
J B. 4?’flPt sk ;“i-\245 !G.’t8;
mais? bie^;sé.rêment il mal Compte ceux des
ôuiç^fjft 'deux des pe,<|$o rates.
2.e édition, p. . f il ïes|ëfqnne autrement et
met B. 7 et P. 20. Il y dé^tib-^sassi ^te^^^uleurs 'dit-, ,f?aj^
sûrement que dans la première : dé,-fond en 'est bleu, les
■ H H H K É *es d’unèpëàu épàilpd’un bleu/dpc^ Sa.pçe^ière description
représentait te!: po>s|ql comme vàri#r^tdîfférentes nuances!
de bleu, E^^Sedlgèrès bandesjaunâtre^e| un tubeïçple
doré aû^^re^l^de chafqQîeÂii! -Besjjbùnes., 'que lb n prend
au printemps iontl, selSn lu i, des bandes tmps^ersates
noirâtres. jÂ’e st, suivant j|fe t ' ichtKyplo^iste , le fanfré
d'America deS^^cheurs niëëen^1^?
^TOm’^iSe' que nbbèiÉ4âVôns des Habitudes' du pompile^
'•pe|t quilIpmüntre sur 4'esvp^raà^'- Âyril et
en Septembre?1. On en fait-^eu d‘ef^6|s^ sa^|pjidu que,fea
chair n’est pg|| trë^IéUcate<9i €u^$t probablqpienf $ur ,^ s
ilotes méridionales^de la.Méditerranée quil fait son habitation
jGrdinairpjygj
U ^ |6> trêsTrare sur' èelles debProvènceet d'Ç Languedoc^
leloh Bohdejet^ etl lëâjpfce suivante paraît T être encore
davantagéisnr celles de f Océan, puisqu on n en .cite que
deux idmvidus qui yi-aient été remarques* 1
1 . Risso, 1 ," édit.; p ,'i8i , -i- ?. Puhamel, part. H, s ^ ^ p , , . . ^ ,