3 0 8 LIVRE $-&i HBiÉ R OÏD*ES^
| pacé entre l’anus et^le; commèncement -de l’anale'e§t soutenu par
un QsfdujL endorme d^earèqe»epmgE^çnée. LeS.jjqctm^tes sorit aikz
grandes et -un peu pointues; caudale,-. ço^meTcliagén^yalxté
d e s^ ^m ïe rd ia ^ ^ elf^mrchùe et ferme. Éiï-êtevant 'de'l’an^sretjm
„lieu dù s e ra ie n t^ ’-fenlr&f^,"1M- Rouquet-ass^ejn?ayôîr"^iVé
. qu’uii'ds’ ëï.Mrfeevd fé^^ü^mobile,
- r.4à l’anus-, .éiâ|îte'toèn,t'*''fc^àimé dàti^lfe^MySrüs.! Il n’a *éom]§lé*qué
trois rsÿ^is-aux branôMps^ Il „paîSif ijuq le"%Sife?i||ist'pas autant
aplati parlesg4£é§ç»Mf. Ràuqûet dit qu’il est:rihrif, eÙseulement un
■peu'efflanqué dans la-.directioBt â^la qgaèfigjà rouio.'La'parfiefgr|J©
et-nue; deda^aueup a de etîaque^âté4|ùneceaj|enp. saillante', comme
"d a n sle thon ou le germon,'et aussi*' comme dans’leVu^à^^La
figure rie Contre non plus aucune ligné latérale. La-'p'éali cle-e^
poisson était firie, lissé, sans écailles apparentes ,'àr^énMâ, et teinte
•;•sür le'dosidehorilsùr-dedaSjué .carminée. La caudale était djun brun
- ;rou;ge.;',?i
On napertlëvait point dents iïif aumti’^gcspfeWtës
aux mâchbir%§; llj;|%aït: lajchair
difficile qu’un pbfesbn ^es^mbîe asîun àutré pîus que lé
luvarus d lp l^ ie f à celui dé n§le-de2] S l n ? T ' # P
"sons pas une grande attention aux petite».différence^ dés1 *
nombres, qui semblent venir de la manière-ÉÿMbôn les a
compté^ etinême' à ôës pointes de la "dorsalèlet de l’anale
qui paraissent caracteriler le p^fsèn degjq^el ’ de
tRgnê! WÊclernières pourraient fort bied avoir_dispârü dans
faute^par l’effet de la dfîritionp^omme, il-arrive dans
le chr^igtkose «t dans beaupqjip d’autres grands pqissops,
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DUMMBRIEP^,, -,
■ E tnen particulier du Sfêf^R in^ Ai®**petetes ventrales.
^^è.ç^pus,mif^pc1^ ^ ^ 1^ \ n ‘jOentrolophus^michochirus, Bon.)
n’I l dé fêsennus^ ^ ’uë nous'templbypns pour ce
!>èn&j fWf^Ëtrotfvé qu’urie^fôif' dans les" anciens, et cela
p£*ag<> il Ai f'SoJLo, tjwsÿVg paç Afhj^ée4, où le
spul trait qùon appoijle* ë|t qu’il à^^eux raies sur le
§||rps, par^, Opposition à\la. j-aupe qui, en* a plusieurs.
Rondelet2 l’a appliqupfÉun p,$â|sdii de la Méditerranée,
4rès4 emblable en petit à- la fiat oie et qui I é’ÿ'cq mme elle,
urfe^ligrië'>latérale écàilleuse. arquéej*&t une^s.tri^S'éteu-
jjtant';etifligne droite de l’ofiih^ l^cahdale. Ijllgl dans.cs^tte
disp’^L^îo^qu’il croit4 retrouyer les deux raies attribuées
pa'r son seserinus.
J-’Çe.qui Vest' plusic^tÿp.,: c’est qugj.ee petit poisson se
d istiu |u e ji,la fiatole-aet de^tousfes.stçQmatées et rbpmbes
par deux tr^petites .ventrales qui n’ont pas le quinzième
d e 'i l a - ^ ^ g u e u T w« d'-i^q® |)^îs ^>'Tvp< 3 ' j | | “ 4 É |
V&la vérité, la figure'de Rondelet ne montre pàS.cé'spetites
ventralesfmaisTson te x t^ u suppose l’existence-: pinnarum
quoe in branchiis et ventre sunt, non differt àb hippuiro.
‘ Cèstiil;^se||rinus que nous èfoyona-avoir ete! pris par
M. Risso pour la fiatoleget f ^ t ainsi que nous expliquons
l’attribution qu’il fait à. cette dernière espèce de,ventrales
à ray dns, déliés, què b ie n ^certainement elle^na pas.
1. Alhèteyi. YII/p. m; Soà —' 2. Rondelet, 1.
| 3 . En.général;, la. désertion ,dS, la .fiatole,;.telf^(fue M’a donnée M. Rifflo,
' semble, sur plusieurs points, faite d’après les auteurs plutôt que d’après La nature.
Quant aux ventrales, c’est évidemment du, seserinus qu’il;les a empruntées* car
aucun auteur n’en donné à ,1a- fiatple.