f Bàge 322, après Partide du pélordu Japon} ajoutez : ?
L e P élôr de Chine.
(Pelor sinerise, nob.) ■
Nous nô'ùs 'Sommes procuré, depuis 1 impression ‘du
quatrième volume, une nouvelle ët bellfe esjbècé de pélor,
qui faisait partie dfobjets envoyés directement de Canton.
Elle tient du pçlor tacheté par la forme de son, „corps et
par. les taches blanches qui sont .sur le dessus dm crâne ;
mais, elle ressemble plus au péfor -du Japqnr parjhfèarte-
ment dès oTêtès sûrcilièBéSi r"
rLé corps é stu n peu moins alongé que celui d e cette dernière
espèce. La tête ne fait pas le quart de ïa longueur totale. La portion
antérieure dvr mO s eau'" est beaucoup mOi/iV’Velevée, Tpii rend
très-peu sensible les deux cavités du devant dès orintes/'L’arèté qUi
joint les orbites ne fait pas d’angle saillant en ^ÿAnt. Le bord ’des'
crêtes surcrlières’ a qu'eîqaprdentriùreymouSses. Lèscepines dn premier
sous-orbitaire sont au noiribre de quatre, mais plus poiUjues;
celles du milieu de celui qui cuirassera joue -‘|shnt plus, écartées.
Le 'bord du préopercule n’en a que deux, et la supérieure a u n |
base élevée=c'omibë une crête dpnt l’angle aiftérîeup est niît comme
une épiiiÿ. Les deux* arêtes de l’opercule sont bien faibles, ilr e r ’êfè
de la tempe n’a qu’utte séulé épine faible, et la èfêïé süs-ôcèipitale.
n’en a que deux. La dorsale adès rayons plus grêles et UnipéUplus
hauts, et sous la pectorale on trouve deux rayons-libres'.;
D. 18/6; A/S/îB/C'. 16; P. 10-— £'/¥. 1/6.
f,ile poisson a la tête grise, pointillée de noirâtre*? avécdes tacnês'
blanches comme du lait". Une„ est plus bas que l’oeil, sur le bord de
là fosse anté - orbitaire ; une autre, impaire, est.éntre les OrbitèA,
dont les bords antérieurs sont' blanchâtresV et derrière l’arête transverse
qui réunit lés;'crêtes orbitaires’ il y à six de ces taches. Le
corps est noirâtre, avee de graftdeé marbrures bJancMtres. Là dorsale
a -des7 tacbeg .blanchâtres sur un foîid noirâtre. L’anale est plus
foncéérLa caudale-pprte un trait blanc vertical.près de sa base;
puis uneferge sbândë ftoirâtrej- ensuite une séries verticale de points
-/ou dé - taoheS blanches, et là moitié terminale de la nageoire 'devient
tout4à-feit -nob?e.^Les- ventrales ont^lartmêmë teinte. Les pectorales
/son^g-id^éS. én dessus', avec dès rayurès utrégulièiéès- obliques,
- Uoirâtrès, et-quelques traits blancs ef't-rès^ms perpendiculaires aux
î ra-yons. Le' dts&cub d e - la nâge'ofee ést noirâ tré vers1 l’extrémité;'gris
j à la base, et’a dans le milieu deux bandes de-grosse’s taches'rorides
p et blanches seomme du lait.
Nous ,payons qu’un seul individu dq>Rejette qspèc©., qui
a,Tsix.p.ouees>' de longueur.
' Wg^g^K<.;aprèsTarücfe'"tïè‘‘l ‘Kêfdosîèlhe delà Meaiterrakee^_ajoute^:
Z/Hû BEPSTETH E ' '
(»JHoplostèthus GjQpnut-u^, npb.
Lorsque nous',avônt fait cq^^ifre /dansle. quatrième
yolump! dënptre ouyrag,e,yp. 344,? la singialièy# espèçfefde
poisson de la. Méditerran^ l nommée Hoplqç|èthe, nous
étions loin de/nous attendre qu’une7seconde e&pèeèdu
mèafùe„genre se’ retrpuverait dans l'océan- Atlantique austral,
-vers la pointe sud de l'Amérique.
‘ 'J^ndividu ^iïf^ ^ sé rv i^ à ’.holfe description, est un'dé
cès poissons curieux que tyqoepnt procuTOgh^ recherches
failli dans^J’èstoSàè/déâ^ahds po|ssoij|!%m:^iS^I fut pris
danf| l’estpmaç d’un(jrequin, harponné par 26 degrés .latitude
sud. L’ichtyologig'-;doijt^ef4f■ Gay,
qui a bien voulu nous-'permèttiBe< de lal&fiaire connaître
dahs^ee- supplément. "