%\<% LIVREE* IX. 'S’GO.MB'ÉR'dÏDES.
figure, pl. %% d e ses poissons d eV iz a g ap a tam y e t q u i / s a u f
le caractère trè s-ex trao rd in a ire d ’u n e 'c o rh e cartilaginettse
sur, la n u q u e /re s sem b le c om p lè tem en t à celui' d o n t nous
p a rlo n s .^
M. Russe! d it q u e -c e burins, c o rn u se n om me s u r ’la
»côte d ’Orixa somdrum-kara-modde'e?
l’avons aussi- reûp. d e la côte' d e ^ j o r p m a n d e l o u
Mv-Leschenault-dit q u e les indigènes lu i -d o n n en t leM bm
d e tové. P a r la . comp a raiso n 'S cru p u leu se ., q u e n o u s av^êÉs
faite d e s in d iv id u s armés d ’u n e corne av ec "c eu x -q u i n’en
Ont p d in t, n ous sommêP arriv és à pensé? qu'è^ô^s'Ôîit les
d ^u x séxes d u n e i n ê ^ f f i s p è c e ; n e anm o in s, ^n ’a tte n d a n t
q u e ce»so u p ço n se v é rifie , n o u s les ^ e e r i r i ^ n s ^ F n ^’
l a is s a n t^ e e u x q u i n ’o n t'p p in t d e ^ r n è /le ^ n pm que Bjobh.
le u r a d o n n é d e kurtus in d ien s , e t p r o p o s â t p o u r les
au tre s c elu i d e kurtus cornutusl
L e R u RTE. BLO CHI EN.1 .
-(Kurtus, BlqeMi, b a ç é ^ ; Kurtus ,B1.
I Lé corps' du hutte sans cbfne ést - frès-compriméf ^ élêvésde la
nuque et prolongé en coin refs la queues Sa p l u s ^ r ^ e hàutjeuy,
à la naissance de la dorsale,' est un-peu plus ^ t r tcâs,i|@|«^ansji|a
; longueur. Son épaisseur est près de cinq fois .dans, sa hauteun^ôn
- .dos.,est mousse, et son ventre tranchant. La longueur de^sa tète faits
un peu moins du quart de sa longueur totale / la hauteur en est un
• péh plus considérable efïait juste ^ q u a r t r La parïie antérieure du
>;'.'dos''descend lentement et en ligne,droite; arrivée à la UtSjpié,'Jlâ
- ' -ligrim défïeùt‘un peu convexé’e¥descend plus rapidement; eütre
lés ÿeüx^'éle devient éoncé^e| et 1® bout du museatT-.est' tronqué.
• 1. LàféépèSe; t. D, p. 5i6 fei 517^
CHAR. XX. ' 3 1 3
La ligne de la gO;Egeret de la poitrine est lègèxæhiént^>nvexe jusqu’à
l;anale., .qui s’élève^ sous-la naissance de la détsaleï A partir dé ces^
deuxpoinls, qui répondent à peu près au tiers antérieur du corps,
le-tranchant dudps. et celui du ventre se rapprochent par deux lignes
droites jusqu’à la bàse, delaWauidale, iou il y a, un peu d écartement.
La caudale.est fourchuç\et du cinquième de la,longueur totale.
est’.au tiers antérieur de la-longueur de la tête et.au milieu
de -sçu hauteur ; son-diamètre -est du quart de‘la longueur.
La -fente de la bouche ,v.a. en. descendant, entarrière jusque sous le
milieu de l’oeil. La mâfchgûife inférieur^îmonte eh avant quand* la
bouche est fermée ; la supérieure ést.Éàédioorèment extensible. Le
.m m llam n’est -pas. rêjâmavert par’ le sbuS-orbitaire; sém extrémité
W ^ r i p ^ e s j élargie et tronquéewen arctrentrant. Le sous-orbitaire
e j j r . l q n g , s a n s dentelures. La joue,gst,plus haute que longue.
v.,,Le,,bordï plantant du pré,opercule est mince-, presque, membra-
ijeùx^san^dentelures jfson aiigle.a une.|éch^acrqre,• et,son bord
inférieur, qui egricg]J,Wïî|trois petites épines. Il paraît que tees< épines
étaient'-usées ou tronquées dans l’individu que Bloch a fait dessiner.
Juesr'bords^de l’ope|qm^^9h^--tr;^ n im c e s; son angle, placé assez
haut-, se prolonge,en.,substancefpresque membraneuse et se„termine
ohtusétnent. Son bord, :au-dçss,us de l’angtei a des stries et des dentelures
Twitir.es ressemblent plutôt à deg^é^'j1^ . ^ Son bprd
inférieur - est àfpeu près. dro.p|ët approche dé la; verticale'- Lè, soüs-
qprrr^l'p etfl’inter/>gercule ont ausgi;4^un?ts,bprds amincis.
;Les branches.dë la.n^âçhpi/eÿinférie.ure, qui dans l’séfet de.repos
i.së touchent, Limeri’autre, peuvent- s’éearter-*|»eauGOup, et alors les
oui es,, qui &©îÆ fendues jusque plus avant que l’oeil, s’ouvrent extra-
k ordinairement.,.Leurs mpmbranps ^e,.CBoqiSent un peu sous un isthme
très-comprimé, et ont chacune sept rayons,.et non pas deux,' comme
l’a dit B^och,, dont l’erreur; ,s’explique parce,.qu’il n’a vu qu’un poisson
sec^fj’
Les dents em vel|vui| ras'igÉruissent les bords aes mâchoires ,
un chfeVrdh au vomerrét lesipalat-ins sur des bandes étroilës.
LalangtSé'pst un tubercule un peu triangulaire1,-à suiScè^çonvèxe
et lisse. L’épâulem’a-poiht «d’armure^ La pectorale s’attache1 un peu
m m . 1 4 °