dos au bleu clair ; mais je suis persuadé que ces différences tiennent
à PmshÈttt précis ô à f'o û 'en a fait k description.
Le foie du gai est petit et composé de deux lobes aplatis, réunis
sous l’oesophage, et appuyés sur chaque côté de ce canal.
L’tesophage est court, larges et se dilate en un estomac en forme
de Sac obtus, dont les parois sont très-minces. Au milieu de sa face
inférieure naît une branche courte, à parois épaisses, qui descend
verticalement éônaïe lés parois dé'l’abdomen, et à l’extrémité lie
laquelle est le pylore. Nous ne pouvons rien dire des cæcums ni
du canal intestinal, parce que le poissdïr que nous avons pu ouvrir
était trop gâté pour que cette portion du canal intestinal se fAt
conservée.
La vessie aérienne est assez grande et donne èn arrière deux
trè s-petites çhrnes peu pointues. Ses parois sont minces et peu
brillantes.
Les reins sontassézgros; l’uretère passe entre les deux branches
de la vessie et se continue en un canal assjSfétroit jusqü’à l’anus,
en sdrte^u’aucun renflement sensible ne marque lé commencement
'• de la vessie uriuàife. ~v_
L’estomac était plein de: très-petits crustacés du genre des sali-
coques et de petits diptères.
Le betlt Gal.
(Gaîlichtrs chèvola, nob.; Chewola-parah, Russel, t. I, p, 46,
n.° 58.) -
Nous ne connaissons cette espèce secondaire de gai que
par M. Russel,
Sa forme est un peu plus haute à proportion de sa longueur.
Les pointes formées par les premiers rayons de sà deuxième dorsale
et de s-On: anale sont, ainsi qué ses ventrales, aussi ^longues à proportion*
mais les fîlamens qui viennent après dans la dorsale, paraissent
plus courts. La . pectorale est assez pointue , sans avoir la
forme d’une faux, et chaque lobe de la caudale se termine par un
petit filet.. M. Russel dit que la ligne latérale n’est point carénée,
ce qui, signifie peut-être iséulement que 'ses dernières écailles ne
grandissent pas autan%que dans l,e grand gal.
. B. T ; D. 6‘4 -^ 2 0 ÿ A. 2 — 1/16, etc.
La.couleur est, comme daifs le précédent, un bel argenté, teint
en plombé sur le dos. Une ligne obscure descend de la nuque à
l’oeil, et £r,ois ou quatre autres se rendent du do^-vers la ligne la-
tCTale^ Les fîlamens des nageoires jpntYerts, ce qui ies^ fait,: ressembler
à des ramiflcatibris de Lgoiiiérÿes. Sa longueur ri’est que
de deux pouces e t demi.'
X e Gal d e s o®ïe s xi’iÉfîariTE.
'^ ^G a lU c h t f s cegÿpti&cusÿ Ëbr.f
M Nous avons vu que les cotes d’^ y p t^ p i'è s d’Alexaudrie,
possèdent ua scyris ; elLes possèdent aussi un gal, qui en
a été .rapporté pai M. Eforenb erg y mais seulement en petits
individus^ d’un et de deux pouces*
Il a, comme la deuxième espèce de Russel, une bande noirâtre
montant de l'oeil à la nuque,et comme la première, quatre bandes
grisâtres et verticalesg sur lé fond' argenté de son cOrps; mais ce
qui le distingue de l’une et de l ’aiitrer,;:•p’gst l’extrême hauteur de
.son corps, qui égale sa longueur en n’y comprenant pas la caudale,
tandis que dans le premierAgal oetic longueur a un quart, et dans
J le sècona un cinquième de plus. Ses rayons capillaires dépassent
de beaucoup' sà! caudale.
D. 1 — 1/20, dont les quatre premiers aipngés ; A. 1/18, dont les trois premiers
alongés J'-'CI. Wfc P. 15 ; jY*. 4^>, dont les trois premiers alongés.