I^spèce parait demeurer dans des^dimeiföiohs plia§ petites
que les* précédentes. MaPoey,-qui nous en a donné
un dessirf, dit qu’elle ne passe pàï quatre livrés«
Kóus en avons reçu récemment de Saint-Domingue un
individu de quatorze poupes.
Peut-être Hest-cê sur un individu de dettélespèce que
M- Mitchill aura ■compté,les rayons qu’il attribue à son
scomber chrysos. . ?
La Caran:güe jàuine.
ÇScomBerehrys&s, Mitch. ; Scomber hippos, Linn. |
Le scomber,; chrysos ou maquerëafit jaune du docteur
Mitchiü, tel que nous l’avons reçu de New-York même,
par M^Milbert, ressemble en toute chose-à la vraie ëa-
-rangueq qe lui trouve vingt et quelquefois vfogt et un
rayons, mous à la deuxième dorsale : "M. Mitchill lui eri
compte vingt-quatre; mlis il a fait entier dans çe"*cal(^,
I® deux petites, épines du bord antérieur. Le même naturaliste
tEe lui donne que six pouces èt demi de longueür.
Mais comme, d’après ce qu’il en dit lui-même, l’espëce
ne paraît pas être commune à KevrSork, ü se^po.urraif
que ôq. np fut qu’une jeune carangue échappéçfde parages
plus méridionaux. Des individus plus jeunçs^nçore A et
de deux et trois pouces seulement, ont sur le dos cinq
bandes verticales un peu plus foncées que le fond, comme
il arrive dans cette famille à la plupart des très-jeunes
poissons.**
Identique ourndh avec la carangue, nous ne doutons
pas que ce sconêber chrysos me èoit le véritable scomber
hippos de Linnæus.
: ■ 'Le squelette-.de | 1| c a r y ^ ^ K ^ -Y o r k 8? comme ceux 3çg reste
du» M l ne différé %uère de eelui du saurel que parsesfcformes,
qui H M H m i i ÿ B ^ B m È Ê È Ê È È Ê Ê È Ë Ë
dix vertèMs àîï^Wixi.àlés :' qùatÔr|e''Wu4alés, Sa, cr(êtë mitoyenne
du e râ fe ? couple en d e |W ^ | ^ v , e ‘ fort ^-dessus
des r a t e i S v I*e Jtand interepirieux%’ quij^drte f ë s ^ n e s libres de
derrière l’anus1; fs t 'a rq ù é partie inférieure; ce^iÀ
produit une petite partie tranchante' en-avant' de ëës épines, efc.
La Gara^'G-ue de ^ainï-Barthéeemi.
* ( fcqraiyz: Bartholomçei, nob,
1 jSSètté espqce noua a été. enyMee ' jpar feu ÇhCns de l’îlé
de Saint-ËartbélemÇayec ùnë^fignrè coloriée .d"après le
Elle n’est pas jCälong$e. que le pisqueL Sa hauteur n’est que trois
fois7et;4u*lque chose dans «a .longueur, Néanmoins j£)n profil n’est*
»pas si arqué^et descend plus oblijfâen^nt que dans,Iv r a ie cay^ngue
qet que dan^ laVau^s^ Son oeir>kpresijue|ui mpieu de lafonguÿur
de sa tête. Le devant de s.a â^uxième dorsale etde son anale, quoique.. ,
plus-élevé, néforjàe pas de' pointe sSliaut|.'
D.-8 — i/?6,Mf
Sa ligne; latérale 6é devient tbdt-à-fait droite que sous lè tiers
antériew J è sa dorsale. On y tompte de trente-trôis h ti;ente-cinq
boucliefs.
Sa couleur’est argentée, sans aucune tache noire. Sel’îâgéôirés
. s^n^'jaunâtres.
L’individu est long de cinjfspouees.