Elle fait d’abord un demi-cercle, dont Ta çonvexité^est dir%éè? vei%
le haut, et qui s’étend, depuis le haut d fd’ouïe jusqsfau milieu de la
longueur dutitroaej ensuite elleFïSO r®ad ;en dréite lign© jusqi*.’au
bout de la queue. Les nageoires n’ont point d’écàilles.
La conteur duhl^îifeariaiest ^plpfflbé'ùétaffiquessur testes^ et
un bel argenté sur les côtés de fe têtej les flânes et le ventre. U y a
^quelques teintes-jaunes à son opereule. Ses aagehires scuæfcstfem
brun jaunâtre, mais il y a du noirâtre à la; partie antérieure de la
dorsale et aux ventrales Les iris des yeux sont dorés., ms
Notre individu a près de cinq pouees d u mjuseau ;au bout~de la
oàmdateyet trois .pouces et demi die l’angWdu dSKSi à celui dû tseràre.
. Ses longs filamens ont sept pouces et plus;: .
La figure de BloCtî (pl. r h f j , semblable au
poisson que .nous avons Sous Tes ÿeux, ,si cë.-n’est dans
les points suivant j
La proportion de sa hauteur à $&• longueur est plus grande^ la
crête du-crâne est moins.coiiv.exe. Il y a onz» épines, en ava^tvde
la dorsale. ,
| La . pectorale est moins, pointue. Les écailles des cô tés de la queue
sont beaucoup, plus petites,;
Cependant il est difficile de dire si quelques-unes *lle
ces différences netiennent pas à l’ina|tentipn du dessinateur.
Les ventrales de cette figure s’étendent jusqu’au-delàde la pointe
membraneuse deJ’^ a jg j «
mais n o u s a v o n s d é jà d i t q u e dans n o tre individmçëlies
n e so n t pas trè s-b ien conservées.
C’est manife.stenient,aussi un blephuri& apte 1e sesmbér
Jilamentqsus de Sumatra, queiP^|jj,n&qn a décriLepabrégé
dans les HémQiî'es:^ la ^Q^^UoiLé^ipin^ 111, p. 36,
et B1 Schn., p. 34) r et nous ne doutons guère qu’il ne soit
le même que le notre. *
jtt iîd& auteur-Te-‘dtei»à»l«êm*Steusëfaà^r^ds? jewxv. à- dents tinès-
*■ petite»,Hserrée*;, ■à *rès»pemè^éeaiMés fermement adhérentes -,qde
eèulenr arg&ntée, :bleT4tr«| v®E6i Ite dos, a pectorale» en fauxà à
* caudale fourchue, â‘pmmère doTSale.se cachant dans un© fossette,
etdà? soeëomdm ainsi quedfetnale /filamenteuses*fiés nomb res sotot un
peu diffêrens. ~
W P; 19; V. 5. m
u Mais u est sralse^e'lés mal compter dans d® especes si frètes,
que nous ne regârdéfio'S'bas’^U e diff^ncecomme une mijpction.
• .L a dbair d u b lép b a ris , sel©m.ie d (r« te u r K k n n ig ^ e ité ^ 'a r
B lo ch > e st ma%P#f coïîdc% et' fade |':Tes lïab i tans ^ de*5 SuP^te
n ’en d o n t aucum'câs.’^
TJISPP L a c é p e d e , re ch e rch a n t lusag ë d é ces longs fila—
ip e n srq u i TerinipenL n lu .s ie u ts3 e s rayons destag nageoires,
d em a n d e s i n o , p o isso n n e p o u r r a it pas sien servir, pcqir
-jauX ip o in te r d ^ s rocbnrs/ÿ o u au x b ra n c h e s des
heiÉies m a rin e s , « t s’il n e % em p lo ie ra it p a s p é u r a ttir e r
les p e tits poiss'ôns q u i les- p r e n d ra ie n t p o u r d e s'V e rs.
Comme ces filets ne p a ra issen t p a s avbir dë%mscles~ p ro pres?,
la p rem iè re .d e ëes^conjectures est p eu 'y râ isem b la b le ;
q u a n t à la. s e c o u d e jgj elle .sera it p lu s plausible,; ffiais les
p o isso n s,,q t su rto u t ceux q u i » .nomme le b lep h a ris , d o iv en t
nager) ayee r a p id ité ’, tro u v e n t si d é m e n t le u r n o u rritu re
d a ^ u ^ m e i ? q u i fo u rm iü e d ’animaicrdes d ë - to u t g e n re ,
e t d ’u n autr%:cpté il y a dans la classe, des' poissons tan t
d ’a p p en d ic e s d u to u te ; so rte auxquels il, e st imp o ssib le
d ’a ttrib u e r f d ’a u tre usage q u e celui d e les. d istin g u e r les
u n s d e s.a u tre s, q u g ces sortes ,de co n je c tu re s se ^p n tc,to u -
j?QUg| .t|,op vagues p o u r q u ’on n e p u isse pas leu r, o p p o se r
d e s. co n jectures to u te s , différentes.
Le blépharis a le foie grosy composé d’un seul lobe, qui descend