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le crémier, en.fente v^tio!^ iwmf,pettvreBor^é, le second, .ovale,
- sansareboçd, SQnt à la hauteur du bord supérieur d e |’ç^| et à,peu
pr^s à égalé distance de son sommet, et du,,bout du um^eau. La
bouche, au bout du fous eau , à mâchoires à p,eu près égales,^descend
très-peu, et sa ^commissure est sotts Paplomb de la narine, Le
maxillaire| découvert seulement en arrière et cbjipé’ éârmnefo, ‘va
2 jusque s'ous le bord antêiïéur de l’oeil. Les dents sont èti Velours
très-rts,- sur des bandes fort étroites. Le lïtnbé nu-du préopercule
est très-large. La digne de séparation déld’opercule i t i d u “ souS-
opercule est légèrement.cénvexe. La pectorale, en,faux t|ès-longue
•et 'très-pointue, a le tiers de la longueur totale, La^ventrale eâutfois
fois plus courte. La première-dorsale triangiilaire a/son 4ioisi|me
et son quatrième rayon, qui sont les/plus hauts,.<âu quart de -k
hauteur du-tronc. Le premier .et le dernier sont fort petits/ t a
pointe antérieure dek_s'eco'n3e îfe ^ p a s 'p lu | haute, nür foesque
toute son étendue' elle est fort basse. ^bW’âërmier râÿbn le relève
en pointe ; 'et a de chaq.ue cété -une^membrane, qui -en- -fait un
prisme triangulaire. L’anale correspond à-peu près .ànetfoséeefode
dorsale. Les d e ^ épines qui^k précèdent-sônt fort petites. Les
caudale * n’ont quelle slnème 3e la longueur dm
pbîsɧ|ft;2^
D. 7 — 1/28; A. 2 _ jg g | j P. |/21j _¥„ 1/fo-L. 19, et 13 eu 14 petfo.
Les écailles, petites ^verticalement ovales, sans c ils , dentelures,
ni éventail, ne montrent qu’à une fo rte Joitpe d e tu^ -fin e s stries
-circulaires. Un grand espace rhomboïdal rèyVÇeupe la p oitrin e
entfè Ijs jp é c to ra le^ e t depuis-là g b r g e j^ q u ë 'd é i’rière-de^ventrales:
T o u t le',dessus du c'râne est aussi n u ; ainsi qu’une, grande partie
des pièces, operculaires ; ,ce nu monte p r u n e ligner étroite jusqu’à
la premièré do'fsîpe. La ligne latérale com m çn c e^ descendre ,squs
île -commencement, d e là deuxième, dorsale, et devient dro ite sous
son milieu j mais elle ne^commence à-prendre des boucliers carénés
que sous les -trois derniers rayons- elle eid’a quatorze ou quinze
: t assez..|lÊjgyg^
A 1 état frais, selon ÎVJ. Dussumier, ce ppissçm est d’un vert clair
h I ip . 3bv:.-«c-a r Aiw[-!PRo f r e m e »-t d i t s . S 7
ckrge&té, âveôde bea-ux*çeflets de nacre, et a:les hagqoires d’un vert
jaunâtre tranfpafpnt. Il, atteint une longueur de deux 'pieds.
~'-#fIfeH’un elfes plus abondans àùx;Séchelles; i l est bon,
mais* un pjëü? sëipPp
; ' l+ e ■ C a r a VÀ" A .TAGSES .FAUVES.. ,
^IBfflwnod Ivàguttatm*; nob%^Sp6mberfülvo§tittatus, F o rs t. ;
&armÈc^dayaâ^, Rupp 3 )* |i|
M. Dussumier a.rappQRtJIldjs Séche^es çn 1827 un antre
caTaW^à^poitrirfe^niér'C'ôïnm’e le prucëïdfëlît
mais,-:àl. tète mnojg^tmdftaëes et quf. tfa,; pas tant de rayons à la
deuxième dorsale.'k? longueur de sa tête’fo surpasse pas sa hauteur,
effn’est que quatre fois aans celle/dji/poxsson. Sa hauteur,
au .m ilieu est un peu plus de îtp i^ fê is dans sa longueur totale»
Ik'muqpoe a unSé^p'çommencemeftt de convexité ,L qui mdiqufolè
-pàèsagéPaux ‘ carangues?^ Du /rékéi^fe ' nu de son1 crâne ét'dè'^sat
poitrine,dès proportions’de sesina'gébfres; jf sa ligne ktérale et des
bouclierfoqui arment son extrehufé ,’'sont à peu près comnfê dans
le. gymnpstèthe ; ainsi sa pefctorale é sr du tiers-' de sa -longueur,
mais les lobes de- sa çaudale sônFdu cinquièm^f»
D.,-7 1/27 5 A. 2 — l/24,. çtc.
A l’état' frais il- est argenté j ïav©e' des -reflets dé. naçrëiet despetites
tobh'esÿb'è'couletir d’or. Le&nageoires ,hsont transparentes. La dorsale
et lâMâfeont leur extrémité d’un -fort clair®/
L’espèce,’ est très-commune ,aux Séchelles, e^peu essti—
m d | Je. iCrois la reconnaître dans la ,'ü^jre uîu caranx
bajad àe M./B.up,pel (A-Ü., p l.,3&. fig. 5)..,tes,couleurs
f i les autres ^ara^ p res^.sont les mêmes et. cette figure
m arque ving Wirlay ons mous à la/deuxième dor^le, mais
le te il^ e n compté vingt-neuf pet de plus l’anale, qui en
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