' | N o u s avônsAexamirié av©<s»oiales ^ s i^ é s s - d e f'%©;^'ld;£ffé-
reus ^ àu re fe , e t nous** n ’avons 'trQ ü v é v e n tre 'e u x q u e d e s
différèrihes p e u considérables j queCnoûs signalerons su c -
<^fivêMènt«.Æ©TOineiàçons par* d é c rire .ceux d u saurel de
n o s eôtes d e Picardie", à q u i noua&y o a s conipteîsoixante'-
treize-écussons le long d e d a .ligne latérale.ËM
-Le foie'. e,st médiocre. De .ses deux Ipbes', e’^sl le droit qui est le
plus pejtil. Le gauche .descend jusqu’à ja^pointe rig|^stQmac, qu’il
' couvre .presque en entier. Le bçrd, inférieur de^&lobe est dlgité.^.
4 Sa couleur est jaunâtre-; la consistance est molle.,
L’oesophage èst asseYibng. Ses parois sont épaiss^’eTplisspes ; il
se terminêpronrptement pârUnieut-d’e-^ap pointu, qui e^l^Sfôrûac.
4fï Liu'brànche Montante deH’^tVmtàë^Lbpmlé la plus grande partie de
■Vcte^viscèrè i elle descend d’abord obliquement vers, Içs parois infé-
i ï^urès dët lfabdomen, se- fléchit ..un peü'.el^e. porte,-vers rie diaphragme,
entre la ' bifurcation .des lobes du'.foie,. Se'^.p^oi4 'sont
épaisses^tandis que celtes du duodénum sont très-minces, différence
qui, est le seul indice externe dp, siège,.du pylore. En ^dedans^ûn
bourrelet charnu rétrécit un peu le diamètre du .canal intestinal. On
' 'comptjp douze appendices coecàlelr‘aiTpyfdrey^elles sont' lôngues,
assez grosses ; mais leurs parois soût'dfunè teflé Énessef'qu’ï lm t
presque impossible de 'ne^às les â&cKléer. Les -luriïqüës du* 'canal
- intestinal!sotit à peine plus épaisses; il commence à se;courber entre
' les lobes du-foie; puis il descend jusque vers l’airière de Babdomen,
î- où il^ jt'u n HSe^ppd; r|pli', :- è £ > e m o i ï t e A V j ë r s l e i l
- se courbe bientôt -de nouveau pour aller déboucher à l’anus.|
Les’sacs à ovaires sont’ grands, alongés ,èt remplis d’une*quantité
innombrable de houppes, qui.'contiennent les oeufs, dont la peti-
f tess© est extrême^
La vessie natatoire est très-grande; felle occupé toute la'lon'gitëür
- de l'abdomen, et sè prolonge en arrière dansâtes muscles de là
queue par deux carnes peu alongëes. Sa face inférieure est arrondie.
Des reins sont médiocres, aleng®3 et d’une couleur noire très-foncée,
J3ans ctm GarânX à quatre^viügt-huH plaquesÿ qui nous
test Venu de Corse p a r M, Péraudotfnous avons trouvé
. l’oesophage un peu plus court, }^o,m,ac plus grand, et les parois
de c-e ,vis<sè|ebeaucoup plus minces, ainsi que celles de la branche
montante.-' *< - , n*»,v ''<•♦** n -
La vessie àérietme, .plus brillante, donnait en arrière deux cornes
plus longnesqt, plus grêlés.
Uous „n’avons pas pu compter le nombre des cæcums.
Dans ’celui quenous avons reçu de Madère par MM. Kuhl
et Van tîassërit, et qui â quatre-vingt-dix-sept plaques à la
ligne latérale,;’ ^
l’estomac .était ..encore plus alongé , et ses parois très -minces. La
branche .montante était au contraire beaucoup plus courte, et ses
parois musculeuses et beaucoup plus épaisses; elle ressemble à- un
* petit gésier,'dl-forme 'elliptique^ Le reste du, tube intestinal était
fe ra it- Les 'qprtès' de la vessie'aérienne sont plus grandes que
celles des caranx d’Abbeville; mais plus petites que celles des caranx
. de Corse,
Dans le saurel d’Iviça, |§ qui nous comptons quatre-
vingt-dix-neuf plaqués* à la ,ligne latérale, nous .trouvons
, un foie plus c.ourt ïîet: plus épais ; B-estomac petit, pointu, à, parois
épaisses, ainsi-que celles de la branche montante. Un étranglement
a ass^foBt. marque le pylore', qui est éntoüiré de divtSèpt appendices
■.-eoecales longues, vernaifoirmes, à parois excessivement minces. La
vessie aérienne est grande, mince, et donne deux cornes médiocres
en arrière.* Lés rems sont dè* couleur grise.
Le' saurel de là Nouvelle-Zélande diffère encore plus
de celai . de nos cote par les viscè^s que tous ^çeux de
nos mers>^w
. Son foie'*-est très-petit et composé de deux lobes triangulaires
et pointus. Le gauche est le plus grand. |