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la dorsale Formée par les deux premiers rayons mous, et à compter
du, cinquième jusqu’au douzième, ils.*sertt*simples et se prolongeât
en filamens ; « les cinq derniers reprennent la forme ordinaire. Un
repli écailleux d e là peau règne deS deux dftes le long de là base
de «es nageoires ; mais leur membrane propre n’a point d’écailles ;
le bout de queue derrière elles est fort mince*, du seizième à peu
près de la longueur totale ; il n’a que moitié de cette dimension en
largeur et en’ hauteur. "L'a caudale est fourchue, et ses lobes ont le
quart à peu près de la Æëngueur duqfêïssbn. S
B. 1 ; D. 8— 1/21 j-A. 2Ml 1/17', C. 17; P. 20; V» 1JS. ’
Tout ce poisson est couvert de petites" écailles qui disparaissent
même-à la poitrine'et-à la tête, la joue, la tempe et le*haut de
l’opercule exceptés. Sa ligne latérale .suit ,àj/peu près la courbure
du dds‘ jusque sous lé milieu de la"seconde.dorsale, où elle devient
droite Ses fa i l le s grandissent par degrés, mais ne commencent à
devenir des boucliers carénés que sous le tiers postérieur de cette
"dorsale. On peut en compter environ vingt-cinqpc’est du seizième
au- vingtième où’ aiu vingt^déùxième qu’ils sont le plus grânda, sans
^couvrir guère que moitié de la hauteur du tronçon de queue
auquel ils sont attachés. •
Il parait entièrement d’une belle couleur argentée; une très-petite
tache npire se montre à peine dans l’échancrure de l’opercule -y mais il
y en aune très-foncée àlahase interne delapectoraledans son aisselle.
La longueur de l’mdividu venu du Malabar est d’un
pied; sa hauteur, de cinq pouces. Plus récemment M. Dus-
sumier en a apporté des JSéchelles un autre individu, de
neùf à dix pouces. II en décrit les, teintes comme il suit :
Corps argenté, teint ae verdâtre dans toute la moitié supérieure j
les opercules et la région pectorale, qui manque d’écailles, d’une
belle couleur dorée, avec des reflets nacrés très-brillans. Toutes
les nageoires verdâtres, excepté les pectorales, qui sont jaunâtres,
• On nomme l’espècfe carangue aux S échelles, où elle n’est
pas trlÉ-commune. On l’y mange.
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