ÇpÉster y avait jàq^|)bseiiVee:e4 qu’il avait nommée ^QTfi-
ber Ascçfp jip n isbu jugeant Sar même qu’Osbeck avait
décritf$s041^1 ce, nom. -,
' dLe dessin de Eorster, consemf à, la bibliothèque, de
Bank%ï etyjsa,; dessorip tion ; placées mal à pi%p@sr>:;spusv- le
scomber_ glaucusid'âtâ44è>ÿBloch- p.osthume (;p. ^â, n.t 34)
répondent egalement bien,à' l’individu que :nous avons
sous’ lies yeux.
G’est'de toutes' les Gârap'gu^Sf oelle'1. qui a la nuque plus tranchante
et plus bombée. Son profil rëssernble à celui d’un y orner, et devient
même' un peu :cuu!'èâ$e etitre' les yéhxffysqut‘do‘nhè’Wilë*'lpoisson
une physionomie assez^.différeçte^de *|||f,wneénères.. Sa hauteur
!pès|L|>àa tout-à-fait trmsjfois” dànsw, sàJOTgkeur. et raypfe est un
peu pkîs' hâMe quèdôirgiiè‘. La pointè de^^dorsalê' a moitié; cfe la
hatiteur w e ^ s . sCelle de 1 anale l l,é1galé'àipeu'’pfês.1La pretorère
dorsale est petiîe. 'La pectorale est de près du. lipàrs. de‘ la longueur
du corps. Le.s lohes^de la, caudale demeurent; roides^êtïtrès-4ëartés ;
ils ont^h^Mîun^le quactfedë la, longueur.' La courbure '(Wla. ligne
,Llatépale> est médift<ufe devientidroite • sous^Lq.troisième_ mi le
, quatrièmuirayon de la deudème^orsa-le j.et n’aquelitèhtebaucliers.
D.,<8 J - ifîi] A. 2 —*ï?18 ÿ Gy 17 éSfifersf P. l /it f Vv f/k ‘ ' |
Tout ce^îssol®' eStHUn brun foncé} sWtqut'ses dorsaEe^Lson
■ ^anàïe! Le repli adipeux pôsterieur'ae sôm orbite esjf singulièrement
large èbgpàis: ,
s otre -individu est long d’un pied. Le dessin de Fôrster a plus
de seize pouees*
tfi @|'bJeck donné5 àJlbn'tcdm6er Ascensionis',Jès xaraLcfcères
généraux (les®rangitè^oet^c^rps ^ti^'lét^^êssus /lalanc en
d^ojns, long d’un pML et les nombres suivans : D|$f^—25;
1. ;Forster dit D. 24 et;A. ,18j parce qu’ilnedistinguepas le pifeiper: épineux.