Sa tète, est à peine d’un sixième piuv longue que haute. Le bord
inférieur de son opercule est droit." Ses dents sont en velours, niais
a.ve’0 un -rang extérieur d’un peu plus-fortes et très-pointues, jSa
ligne latérale, médiocrement.courbée, devient droite sous,Je c’om-
prenceraent 4 e : sa, seconde dorsale , et a environ quarante-cinq
boücheVs. Sa pectorale n’a qu’un peu jnoins du quart de -sa longueur
totale : c’est aussi la mesure de sa* hauteur, au milieu.
' A. 2 _ 1/20, .été. '
Toute la moitié supérieure paraît d’un plombé bleuâtre. La Moitié
inferieure est d’un bel argenté. Iby^’éTiine tache noire à f opercule.
Les nageoires paraissent grisfiïKou blanchâtres. DknsTéÉat' frais,
selonvM. G eoffroy, la caudale et la deuxième' dorsale sont d’iin
vert jaunâtre. Le dos a des reflets verdâtres;, et le ventre des reflets
roses.
v Mpps en' ayons un individu de .sept poucësJ'rapjtoitè
d Egypte par M. Lefebvre. Ceux de -M. Geoffroy sont
moins ^an d s: il assure des avdiù^eus Alexandrie, où les
pêcheurs les nomment tougalé, cëst-à-dire fuseau. C’est
de là qu’il a tiré la dénomination 4« l’espècë..;-
11 fa fait représenter .dans le grand ouvrage d’Ëgypté
(Poiss.^ pl. 24 y fig- et M. Isidore Geoffroy-l’a décrite
dans le texte du mê me -ouvrage.
Le G a r a n x ■
. ( Çaranæ mgte~t-nob~'\
Dans une sixième espèce y qui se nomme à Pondichéry
màté-'paré,
la tête est d’un quart plus lobgue que haute. Le bord ihférîëür du
préoperculé est en " courbé 'à peine convexe pu mêine tôtit-â-fai*
droit. La courbure d è la,ligne latérale est plus lente, éësarpartie
arquée s’étend jusque sous le quart antérieur du .la seconde dorsale.
Les écailles de cette partie, d’abord très-petites, s’agrandissent
par degrés.- Atrïvè.'âda.partie droife, elles sé 'changent par-degrés
aüs/i'en plaques calénées, et l’on ne cîynpté ^uè de trente-six à
" " ’quliraml'^tle/c'es dërnières.
D. 7 - - . iW j iu 25,; A/.à — 1/1*9,.etc.
Le dernier rayon, tant en dessus qu’en dessous, est un peu plus
long et moins bien aïta&hé que les autres.
Sa-diàuteur, au milieu;, est^trois' fois et demie dans sa'longueur.
Son ëpâi^lèlif, dfeux‘ f®is dans §à baixléur. 'Sa pectorale- est trois fois
, et un tiers d'ans ^ i ^ i n à i i e u r . q u a t r e fpis fedemiev .
' Tousdes Autres caractères de ce jpoïsson lui^sbnt communs avec
lès a l ’â tacÈe n'OÎT% à' fopèrcule etAu haut 4e l’épaule.
t l^ n ^ r p s is t 4îun bel ^entl^iféip,t: de-b'Müâfre. ver s, le dos, ë t dans
le fiais -de .vert .clair. TomJe desspus^st argenté^ avec- des remets
, du nâèsislLa deuxi.èmefdorsale /et'la caudale sont d’un beau j'âune
djpj/qjes .p^tprâlês teintés légèrement de jküne. Les autres nageoires
1 blarîches” ®e^&çparvlenl?/àune longueur^d^dix-poi^c.es»
'M. Dussufoipr Jfa,/ fappqfi^é'p^ , ' où on la
nomme c a ra n g u e 'ronde. ’INÉfc. Q’ùc/y etJ Gaîniàrd Font
^pwBtéefdv .KdV® uaëËf-Gniheei, et M'. Raynaud du
détruit d’Àntjer.'
L e Caranx a->%u®ue ^aùne.
-.^fÇ^rcinx 'oçeèntJiufüsT K. et V. H.)
MM. Kühl et YânrUassel't ont aussi envoyé de Java au
Mififife .des Pâys-B.as un. poessdn
- .qui a-l’es mêmes5 formes que ce' maté f 'les 'hièmes nombres ( D.» 8
_1/2 4 ; A. 2 —L 1/19'),' lavmëmp;tache noire à l ’opercule; mais le
1 dessin qu’ils en put fait d’ap£ès le frais, montre sur le bleu du dos
suite de huit,ou neuf grânçles taches d’un bleu p lu s?foneé,
dont u$us ne s o y o n s pas*.,der traces dans nos " échantillons. La
' 9*' I I ‘ : 1 ' ‘ '6