écailles-scnt plus menues, et eùfn’y regardant pas de-près, ônfpeut
très-bien croir£ qu’elles, lui manquent,
C e ^ 'e e qui fait que .nous rapportons à-'qette espèce le sûdi-
sundawah de Russel, quoique cet auteur i&‘ dise sans;~écaillés y
d’ailleurs, tout le reste, de .ses caractères est confofipe, et le-npjaibre
de ses rayons -s^accôrde a us&k, o u ^ peu près, car Russel. les pécriu:
D. 7 —Am- A. 5 -T- l/âQ^cjA: £. 2?v
Son individu d’ailleurs niait petit-et de six pouces seulement
;Tpiaôtre en a plus de neuf.
Selon Russel, son sudi-sundawah est argenté; su caudale
et son anale ont une^tetnte jaunâtre.. ï
Bloch nous paraît aussi ~avoir- rxpréseri^lnotre pample
fjéike, pl. iffeo“, ’sous le nom d è 'strq 7ndtétist cjriéreii^:;TSon
dessin est exact pour la tê te , le c^p p s^iH’lës nàgepires j
cependant il y marque trop fortpménfdes -écaillé-. ; ü y
oublie entièrement les* épines^ et iPsgmble en‘ compte^
les rayons bien différemment : D. 55; A, 29; mai^sâ'ègxopr.e
figure nous les1 ïnôntre autrement :pwi y en vint trenie—
•||p t à la dorsale et trente-neuf.à. l’analëy en ’sorte nu'er les
yingt-neuf du t^ ^ ^ oÙ Ÿ ç d e n t^ é ^ ^ tre 'Une i^nte d’hn-~
pression. Je laisse aux naturalistes qui yisitferônUlâ. côte
de Coromandel, à décider si les autres difnïtencpsVtiennéiit
à respèèe du poissoh ou à l’incurie si habituelle de îiçh-
tyologiste.
Koch donne assez lui long, d’après son,correspondant^]
le missionnaire John, lTiistoirê dp ye'.strqmatéfe^ i ndi'é.
Les Tamoules pomment qïpaval, c’est-à-diye.jÇhauÿë-
souris aïléit^
On le prend à Tranquebar pendant toute l’année mais
il estiplus abondant en Jandery Kév»er. eE Mars./C’est
surtout dans ces deux derniers mois qu’il .est le plus gras
.et le (plus .succulent. Il n’a-point de temps fixe pour frayer
éll ri’èptfe jamais dans)lés .rivières; on fe.pêçhe à quelque
distance de la teîète-aveei de grands* .filets. Les plus forts
patient rarement un pied de longueur sur deux pouces
d’épâisseûr;■ plus il <g»"grand, et meilteun il est. On en
fait Une préparation nommée karavade, en le coupant en
tr^ofieitpMnees^neisàupèiidrant dèfàetet le pressant entre
deux plane3h.es. Lavée. 'ensuite! e t ïsechée a la fumee, xette
préparation -fournit Un méts délicat. On conserve aussi ce
p<pfèdn dans le1 “vinaigre ,^et il est très-bon^ sdU] quelque
manière qu’on l’açcommodè. ^
JJne chose singulièye^pest, que, bien que les stromatées
paraissent communs sur le^.cote^ de l’Indostan ^et qu’il y
en ait même en Chine, n o u s ayons jamais reçu ni de
l’Isle |-jde - France’, ni d’aucune partiç de l’Archipel des
Indes, ,et que ni Forskal ni Commerson n’^n aient observé.
> Blÿ& (part. 5? p.?6 ^y jr,|p p p fïe le tout et ou de Renard
(pl., 3 3 j? fig. 1 7 8 ), et il pepse même "que pesjt son p a ra
ou, np-tre pample noire. If se .trompe manifestemen^; car
qejjputetoju est une .espace de pcp^sqn de la famille des
theuthieg dont nous parlerons plus loin; mais je croirais
volontiers que notre pample noire est vraiment représentée
dans Renard, k l-, pl. 5, fig. 38, sbpsde nom de
nanourang, Au du moins que c’est quelque espece tres-
ypisine. L’original de çqtte figure dans Ylaming, n.° 1 2 8 ,
manque aussi de.ventrales; il'est enluminé de bleuâtre au
dos,1 d’argenté au ventre, avec un peu de jaunatre entre
deux.,La carène de la fin de la ligne latérale y est mar