* „ Le :Qarànx;> dejn^ê.--. L
dentex, »©b.j 3&omëer dentedc, BI. ScBn.^t
m&mber vde 'Bloch, (Syst sposjth.^B^'^°>
n.%.à&j§y que nous avonscxaminé suivie propre originalgle
o» êtMbre ' ichtyologiste, vietft a i f â âB^s i l g et ùspplèz
sémblaHë au Égfl^ÊBÉ
nwJS^ga.jjtête est bien plus,graille et^çontçnue seulement trois fois
Æt demie dans. s«l longueur.dSçs cfçnts sont bien plus^grftgses,, en
cylindres courts, arrondis au bpm, sur^unaspule rangée, au nombre
d^ treize ou quatorze de plnyyue CQfé.^Les deux du milieu, à. la,
mâchgife inférieure^-sont plus fortes, un peu isolées dès autres et
écartiest entre elles. Il y, a deiuç r a y ^ s d e ^ to g ^O la aeSieme
doirsple.-
| et plmpansqpetfts; Ê. §%V. 4/§.
L’opercule et le sous-opercule sont écailleux, aiiàsi bien que la
tempe et la loue. Le nu du museau remonte" aussi-eft-polnte^usqu à
la premièredorsale. La ligriéTlatéralè n-’a qu’une faiblednflëiiérï Vers_
l’arrière, et les boucliers commencent'à s’y marquer-vis-à-vis le
milieu de la* deuxième' dorsàlef On* aperçoit un peu de" noir à î ’é-
ehancruré de.ÿopiercule.
Llndividuést slong de dix-neuf. pouces, fl avait éte envoyé^de
flio-Janéiro.
; |a L e Caranx .a .anaiæ ja u n e ,
; : .{Çanqnx aiwliSj'nobJ) ,
. Ilffle de Sainte-Hélène V dans les eaux qui la baignent
un caranx exactement de la forme-du dent ex,
et qui' a'-'les’ mêmes proportions de corps, de tête, de nageoires, la
même, armure à la ligne latérale, mais dont les dents sont un peu
.moindres* et amnombre de dix-huit<de,chaque coté*, et qui a deux
* fa y ^ n ^ e pj>usl,à la| deuxième- dorsale et à. l’anale. |
, -î¥yD.f<8 &
11 © s ^ ^ lh s ^ a '^ p 'e tt^ r^ iü te rm 'é c lra ire entre lfe soleà et
\é d e h t e f f î f f î S ‘
1VT. Dttss^umi<rf^à?ij,ui nous le dlVtmSj a'décrit ses^côu-
Tc fiw^rrJ Æe dErafg : f*
“'il est verdâtre clair en delsüs et,aux'ffàùcs^ a le ventre argenté,
avec unedégëre femte’‘de ^ ^ L ë ’’déèsu's dè'îa tête est d’un vert plus
Lés-pectorales, lesCdedxdo#lès fef4a caudale, sont verdâtres.
Geïtè dernière eaf termihéepar du faïdiei L’anale'est }âune%sa base
- dâTï§5tQ;uie‘ sa taiSgueSirr eî;Verdâtre k sûn; fond. .
L’indîvidtb est long dei.qnatorze^p.oupes^ '
G ® un très -bob; poisson, abondant à Sainte - Helctie,
et qui’ atfëmt’deux jîïëdjf et plus.
DJ2 S G 1 EÀ N'GU E S» .
Il nous- reste à parler d-e ces çaranX- à crête du crâne
r e le v é e t comprimée, auxquels nos. myriùs^affectent'plus
particulièremierit le nom de c«rang«ej;-maig-%’est la partie
la plus difficile dë nowe^ôhe. Gé^ôis^ns"se'ressemblent
si fôrty q u il est pi^(|H«iinBpQSS&l«^€. leur- apercevoir dés
caractères tels qu’on puisse'’ distinguer l_es\esgèces voisines
lorsqu où ne ie y a pas â la fois §^u0es.|Èux p o u r en faire
une comparaison immédiate. Ils onf tous le profil tranchant.
et. 'ce ra e^d 'e sB o u ch ers seulement à la
partie droite de leur ligne latérale’; 'dës*péctoralès longues
et en mais souvent
cachée *s:©us- la peau en avant de leur première dorsale.