Page 348. Addition à l’article du gljrphisodon coelestinusi
Nous devons: encore au zèle infatigable de M. Dussumier
les observations • suivantes sur ce «beau glyphis'oÜ'o'n - des
mers de l’Inde. Elles'ajoutent à>de que nous etf savioiïs
déjà, que. ce poisson abonde aux Séchelles, qu’pu .&£■
nommé maçondé3 que saxbanyest délicate et saine. Ibse
prend très-difficilement à l’hameçon, mais communément
au filet. Sa taille n’excède pas cinq à six pouceji ,
Page 3 $j6. Addition à l’article àa gfypjdsofilon luridus.
Ce glÿphisodon vit effectivement sur les; .coûtes .de Ttle
de Madère. M. Cuviet a exposé dàns là collection du Mu séum
de beaux échantillons de cette espèçiL provènant^üe
la collection.faite à Madèrë, et quori lui aMonnés-pendant
son, dernier séjour à Londre|."Comme iis Orit^eiii^re.^^É
SeVve leurs couleurs,'nous pouvons rectifier not-r^'description
éri' Ce quirIesc,c'oncèrne.
Le corps paraît été brun rougeâtre, âveq^le bord de chaque,
écaille d’une^nuàMce plus claire. tJne tache d’un beau bleu entourée
' toute l’aià'selte, et paraît' àù-dessus de Tânglë," dè"la péctdralé.’D,es'
points de la même couleur^ sont épars surTa base de la'nâgfeoirè et
sur le devant de la poitrine : on en voit de plus brillans suif fé-front
et tout autour de l’oeil. Deux petits traits;déliés sont tracés'au-dèyànt;
de l’oeil}, i ’un aur dessus et l’autre nu^dessQpèfii^^enx roiioe^tnrpl
de la narine. , , .
' Les nageoires .sont,un peufplus foncées que Je’corps. Le rayon
épineux de la ventrale e t|â seconde moitié'du premier rayon mou
sont de kccQuleur de l’aisselle de la pectorale.
TO'ME ;V»offÉEIARlSl 377
jgâgf î% j.4îaprès fartie!® àe Yhéliase chauffe-soleil, ajoutez :
■ i ’HÉÇlASEj GA3TA,QN'ÈTTE. ,
( BèliàsëÈ cfükrrïà, mob/;çCastaneïa\ Gaÿy notes' manuscrites.?
M. G a y ^ jç n t d e ,ra p p o rte r dejlaîèéW dü^Gbili u n héiliaSe;
te llem en t seriiblablc è ' c e lu i d e là Martinique', q u e nous ne
l’en d istinguons qukvefc dante;.
D'eux individus, Tongs * de9 cïnq*pol®e^ëV demi, rappemes, ae,
Valparaiso’, offrent lès mêmes prtipèVéréns* k'xfefêttle cttimftiYè’rén-
traftfe ; sür> lé bô rd^ d u préopërcuiéj iMi§ dés^ombrés 'de raybhs à*
l’anale un peu' différens.
B. 6 •, D. lé/12 ; A. 2yd4i|tetc'..
La caudale est plus fourchues, æt les lobés 'M la dorsale et de
l’anale l ^ i t plus arrônaîs.'f '
U n a u tre ^individu plus grand , car il"a h u it p ô u e e ^ l e ,
lo n g u e u r, v ie n t" a e lilè J u a n - F e rn a n d e !: ^
| | ; Sà:v|ormë générale.ost lai^ême, qu^ppll^defiliréfédgtis ; mai».
celyéif?ei-'S| le bord yeftdfcal du préopercule droit et sans^G,purf)uré
.rentrante;rs®|n angl^fest plus .aigu. La ^p jsale.molle est pîuSjamuë,
le îohe %upê rieiir de la caudale ‘plus pointu é t’plhs prolonge; ce
qui refid'la ffÿe^ffê* iiiii peu0 plus tdurchue’ êbcoré. Ses nommes
diffèrent âtisSÏ aoe auoeesS *’
. n B. 6 > D. J2 /i^A
La épuleur des troi& individus e|t absplumenft la même’., I^JGay
n o u s ^ ç om nm n iq u é .d e s s in de;<pçux:, de Valpajîaïsp^âl;le
représente fileu ardoisé §ef dos ©tant trèséfoncë, prêsqiie
«t ventre argent^, Lçs.aggeoirefe ont quelques?teinâeâ vèi^
dâÿres,. LUr^S; 4® l’oeil :est orangé.,
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