1 0 4 LIVRE ÏX. iCÔMBÉROffiES.
en velours. J l y en a aussi une plaque ronde au-devant dû vonaer,
une bande étroite à chaque palatin èt? une su# le milieu la
.langue, qui est la;rj^Ç.obtuse et jssez librq Le limbe..djm.préopercule
se marqué à peine;'son Bord est libre, mince, entier ; son
' angle et son bord inférieur forment ensemble un arc d!è cèfcle.' Le
bord inférieur n’a que moitié de la longueur dju^pord iSliÛtânt;
L’opercule, 1 deux fois plusi haut que lon g , à;1 lf>son bOrd; libre
ün arc rentrant, q u ifs^ â^ deux arcs sàillans. Son bord .inférieur
descend obliquement et est légèrement concave. Le subopercule est
fort étroit dans Se mjMrnâjfègtaUm» sont très-fendues ; leur membrane
n’embrasse point l ’isthme et à sept «rayons, dont les supérieurs
larges et plats.’
La pectorale', attachée un peu au-dessous'du milieu de la hauteur,
est en longue ^ u x -p S à lu e f de pf^s du tiefs-de la ïdûgüéur
totale» Efle a vingt rayons,.dont les derniers sont trés-petats? Les
ventrales sont de moitié moins longues; lèud»épine est faible , mais
presque égale au premiertrayon rqou, qui esr aiguisé en pointe.
La première dorsale, placée vis-à-vis- du’ premier tiers de la pee-
; torale petite. Son pm^^er aigui%m; se »oit- à pÿ i le
deuxième et le troisième, qt$l§tont les plus longs-, n’ont que le
sepùèçie de la h au teu r le sixième ,*et surtout le septième,, «jnai^m
fort petit y sont. Jjbres entré cette nageoire; et celle qui la suit.
Gelle-ci, la deuxième dorsale, commence sur le milieu du tronc.
Elle a d’abord une^épme 'grêlé et courte, cachée'dans s6n Bord
àhtétieur; plîfe'dèux rayoïïs moüs,|iprolo'ngés.én qne pointe grêle,
qui atteint l’èxtrémité deTa caudale; le troisième n’l que le quart
de leur longueur ; le quatrième et le cinquième diminuent ettèore.
Tous les trois sont rameux ; mais le*sixième, Ife Septième et fies
■ suivans jùsqû’aU treizième, sont sijæples, quoique articulés, et1 se
' prolorigént ^é^ filamens SîpSne a’uû^in^ûième ihôpidié que la
première pbriite; Les huit dernièrs ’Sont de' nouv-éau courts’ et
’ branchüs. -
L’anklë offre une disposition toute semblable. Après lés deux
aiguillons libres qui la piéèêdentVcohimë dans les autres carânx,
elle en a une petite càchée, une pointe aussi longue que celle de