niment-préférableuà? celle;des écrivains q u i, recueillant
de différens GÔtés et d’après ides, synonymes* hasardés ÿ Jes
traits dont ils peignent un poisson.,; s’exposent .à?composer,
paru ces réunions forcées ,;runu;espèceJimaginaire.
Descriptions des Ooryphènes étrangères que nous avons
observées:
La Co ryphèneTéq uiset.
’ (Corjphcena eq'uisétis, Linn.)
La corypbène dont nous .croyons pouyoir notre
première espèçe .étrangère, .est celle qui a. le «corps et la
tête plus éleyés.
: Sa longueur ne comprend que quatre fois et demie, ou: cinq’féis,’
, sa hauteur, et sa tête est. d’un dixième plus haute qu^ëJhefvnJest
lpngue : ce qui établit deux différences très-sensibfes espèce
de la Méditerranée...
La courbure de son profil est aussi très- d ifféren te il monte
d’abord verticalement sur le tiers à peu près'de son contour j, puis
il monte obliquement jusqU’à lâ racine" de la porsale/La partie
: verticale est trdùquée en avant, lâ r ^ et non trandhante^c’êst'-^aire
• que la largeur de sa base est des trois quarts de sa hauteur. Les
lobes de sa caudale sont compris fcoisFois et demie dans sa*W&k-l
gueur tptalp. Sa dorsale ‘ est- haute de l’avant, et-va en rdiminuant-
iTiseTisiblement. jusqu’à son dernier 'rayon, qui n’a. que le pers.de
la hauteur dés rayons antérieurs, La. hauteur de , ceux-ci est cpjn*
prise quatre fois et demie dans la longueur de la nageoire;.':.*
D. 57; A. 27, etc.. .
Nous avons reçu d’abord cette espèce en squelette
seulement, et nous ja dûmes au capitaine Houssard, marin
instruit « ’et- ex'p*érimtei|fpï, 'i qui l’av^M prises dans locëàri
Atlantique^ MNElé^ênh.'Êtt dSlndflj^mjâis1 mous lavçns re-
éOnn^eq^is'dîile> dams un ié.di.vidu envoyé de 1 Amérique
mérididn^ale-; pa-pIVï'.' • SifeBe rtpau >(8âbiîafe t> de Berlin. Il offre
eîè^p^iîdSÉLt' des?‘ d§fférën-4^ ' daiks le nombre des-rayons de*
^ dt^L^ÜÜ^Mp^osÉ! an!S%.'^i5
bv^l;-At'24îiU
■Le d^s en^jihaît, blquâj^e,- et l’onti pAE-Gh p,ar-la, tant sur lé
. 'idokque s«&te fentreCde petitlM©inpfi’|^ s il y en, , ju^pie .sur
I1! ''^a caudale.'Les pecltotalës sont jaunes, et ventrales ^noirâtres.
- Depuis Duss$m%$*©n a donM.#u Cabinet du Jardin
dçs .Iplan-tesiiuni bel individu, pris^àï&yingt-cinq lieué’s au
pO rM e y ]|lÿ S a ^
interméidiair-es" entre «rcepx^ d^sjd eux individus^ dont nous
yenons de. parler.-».. ^ |,b . 53- A. 25, etc.
M/èéssuimW, qui dit qu’il ariiit îèdbs&ùsfdulelrps
vert , aVéÈ^âê's- reflèts -argehïes;?-Les flancs et le ventre* argentés? et
dorés; Sans tachps. Toute- la jdWrsafe d’Atm beau bleu changeant. Les
pectorales, d’un blanc transparent, îmt|èU|S|gu^tçe premiers- ray dns
verdâtre.,vLes<v'entrale|^eü|s!Ou^yprdâtye#,>qn|leujs1(r^(^st^mçs
en dessous. La caudale, ,v verdâtre, change^ eii doré, et en a^g^téj et
, l’anale montfe^les reflets du nacre,
J'#ffrai remarquer1 que les petites tadhes' noirestdoivent
paraître très-peu sur le poisson fr^is, puis qü ëll e sj^dnt.
écfiappëjà M. Dussumier, observateur très-exact 5 quoique
son individu dësjécbé'en montre d’absolument semblables
a i l l e s qui existent sur l’mdividqî.clu Cabinet de Berlin,
v Nous trouvons une excellente figure de cette espècc daps
BarbotVll lai. confond avec deux autres,, comme nous
1 . Coll, of vày’. ànd'iPaW^.l. Y,'pl. 29*.