la Ä o n blR%lef dans la "baie dé^Hew-Yôrk, et qtfil en
a: vu densept ! pouces Jet' demi: ét dé ‘ neuf’^otfcëk»
Sans bette dernière circonstance jes<faurais presque ^
gardé wtome un jeune individu de l'espèce*’ précédente.
Il arrivé ^oüvent ^ et surtout dans la famille <àps scombres,
<fhe les bandes verticales disparaissent avec J âge.;
La nier déi‘Indes npurrit des poissons Wsez sêfnblaldés:
aux sëriol'ës1 par l’ensemble de leur • caractère4 pour' que
nous ne Igs distrayions pas dans un gpnrn particulier;
cependant elles forment un pètit groupe remarquablë'ïpar
la hauteur de l e ^ 5ifonty par des dents un peu pluk'<gRp-
. ehues, par la petitesse de leur première- dorsale-^ et par
la grandeur de leurs ventrales.
La S éreole a deux taches.
(Serioîâ b in o ta ta /n o b .y^v
* .La prémière^de ces sérioles des Indes a la tournure-duhe petite
coryphèite, • sauf* la dorsale.
C’est un .poisson argenté, jAvecsii; ou sept Bandes*, verticales
^noiratres^ tJ n .trait brun passe sur le sdpFeil e t5 s».'joint sur le
à cel^i du côté,opposé. Le dbrps esr couyert-d’é-
. cailles à peine sensibles à la loupe. Son front large et arrondi n’est
pasjstranchant. Son pfeofil est plus rond; ses ventrales atteignent
les premiers rayons de l’anale : .elles sont à peu près doubles des1
pectorales. TrOTS de sesllkndçs^’ététtdent sur la dngsale, mais! non
sur nrnal^: il y eh a yme sux là basé de-Jg caudaSe*, # t une taèhé
noire peu*marq||ée sur ses lobes.' La dSraième dorsale et l’anale
ont un liséré noirâtre. L$s ventrales ont la m'émbrane noire et les
ra|»®ns blancs.‘La Egneddtéisle,skrque un peu v ^ n le dos dans;sa
; -rfâ®itie j ântéribtE®6«- i,«
- Ü l / a o e t S on 0; P. 17} V. 1/5..
’ n's prié c’éttedbfèpiptôofrd’un individu rapporté
pauPérôn, eîjgqiïi ïrésl lohfg qiïe €é deuX,p|ii@ep i
Il ^kArkièlif^ê^Kès^^r^&fë- pdti%^okr'ùous en avons
re d e rn iè re « e b k un sè^Qa%d f-oxem^laire tottt-à-fait sena~
blable et de ■ meme taille par des s©&s de M. Dusgumier.
Il vient de la rade de Pondichl%b
La Sèftîbï^’DiE R'^peeL..'
* {lS‘ef-iolâ ÏÏÎuppelii; nêlü. -, tyomeus ytîgrofasciatus, Rupp.)
M. RÎippël a une "f>ef||! 3è ’La ^pier Rouge , a'p-
■nolee n o m e fà ^ ig r à f ^ ^ m ^ f sur laqueïïe nous “Sbiàmes
(Âligéçjd’atifnd^e*. de n o u v e a u . * ' c e t
observateur que la langpe et le g i|a i^ ç n t J i^ j^ g e s
oaEabâlflsont ceux d'e n0S. .ps,ènefi|f ^ léloignerMfPt sJ;lorsi
ce poisson du §ea.pe f&ériole, et .cependan^^
quoique ‘plhs '-grand” ihestJ facile de. juger/que; resjfoEHies[-&dnt lès
mêùifesïque dansjde'sfëeux petitsdndiyidus de .Mëspèee précédent*.
Lesÿ entnfes pÈ fW ^ sW tîip h âd ‘étroites * et plus longues Cinq
) bandés^ noires, descendent durdbs’en se dirigéants*.obliquement <en
’ayant’,1 la première, vet« l’ntal, la seconde ‘vers l’tjperéule, les trois,.
§ ; suïvànteSv* versdè^nanc/ Entre ; les moyennes illy^T dçsSséiièfcde
taches noirâtresj. ëtiune isolée sur Je?dps$det la queue.'La se,condey
dorsal^est roussâtre ,, noirâtre vers la poffete, qui elle-même est
jpnnâtrf,.,L’anale.-est ■ aussiironssâtre,-,aveqr;ùne ^ h e .npiré; à son'
bord un peû em arrière de sa.poinie. LPpremièr“ dorsale, da cau-
1. Rappel, lÀtlas zo<yégipÈty.poissons, p^Ra^l. J», %• i* H 21