même à d’autres familles et, qui plus est, à d’autres ordres.
Ainsi, Artedi y avait joint le razon (^coryphoena no va-
cula ), qui est de la famille des, labres, et Güieïin y%
ajouté jusqu’au macroure {çoryphoena ruspestris; L. ),
qui est un malacoptérygien de la famille oe|s g^de&_Av$p
le :.'.razron ordinaire -d oiverit être < éloignés le coryphoena
pen tadactyla ,■ le coryphoena coerulea 11|§, Icufitypk0ri&
lineata et \g coryphoena psittacus, quisdnt des lahroides
du même genres •
| | Nous devons surtout signaler une . erreur ' de BIo^ l
(j’oseràis presque dire une.-espèbgt de fraude, s’il n-ell’avait
pas* ensuite .reconnu lui-même* ), en ^faisant ^yav&rlvun
dessiù.fide Plum ier^tireprésieatant le pôisson {nommé ^ivje% @k
la Martinique^ lequel est de notre genre mala|anthe et
de la famille des labres 5. il.en a i altéré le prpfil pQUjçrle
rendre semblable àjcelui ,des;cqr^pjièn^',{ et ^ établi* ainsi
son espèèe du coryphoena Plwnieri, pLi^sêf. Shayv a fait
copier cette figure falsifiée (Gen. zooh,%t. IY, part,«?.,,
pl., 32 , fig. 2).-’M. de Lacépèdê-a donnéde ^déssin id&iRfe’d
mieri^fisusa f®r«^primitivte|b ::IVj pl. 8, <fig. mais
il n’en a pas moins laissé le poisson dans le genre des
GQïyphènes (t. III, p. spfr) >. c’est encore un retranche^
ment qu’il .est nécessaire d’y ;fàire. .
Le coryphène, .chinois- de M. .de Lacépèd,e,'(t., III,
p. 209I ne peut pas'y. rester davantage :;c’eSt: notre I&tvlus
argentatusG qui eSpde la famille des SQjènfs^Il faut retrancher
également les espèces ajoutées- dans le système
posthume de Bloch ,ÿ.sous< les noms de coryphoena lutea^
1. Syst. pàsth., pï *2 9 9 -5, il’rejette la faute sur son deSsmàteur.
2. Cuv. et Val., t. V, p . 277/ :
CORYPHÈiNUS. 201
'@’est,notre^ifent!éijaune^ ; de coryphoena nigrescensy dest
le j[®ji^qn p&rcaî apravïa tou notre centraprjsMnèÆ*.
ào$®0ryphoena to r v a .U ^ n o l x e agriopus
toM Mêà^S^coryphoe naïSpinoim ^m ^ un apistey.etpde
H H H M .galiîoea/..dest un Jaromis; mai#<fe nnst.pas
„ outre ’ ^pi®^|ns, qu il|\e#‘ luéeç^sajre I de
trapspQrti dans-bautiiçSviei^^|felenîa qui n^peuvent
eélui j&fertr qu*Q pn Posait où
placer ;èTi%fdrit les wp Linnæùs 1 1 dans |sa
'jDuziè^e l\k% -du tg §^ r# e s
gnujyph.^jE^Bfcg et; sur lesquelles il n’a dpni^é que.de courtes
phi^aaia's^.^ftTîi. < e(r>mpajFati^esg'^fe#lesvnombre%^dês > rayons.
B H H B H imp (pible^ aulo urd’hui « H H ren-
se^gn^ens si incomplet^ m ém ^ quel genre
elles appartiennent; ihapis;,f qupïqu|p|a* plupartf.dfibpjftx qui
l n t ê£\%aipÿs on
peut bien 'â ffi^ ^ g uMè^ n e^kènt,Spas- de%f®^pltèinsj,
miles que pe^de^ Wr&b mênâeëqpe plusieurs
pe."pèq^^$e|r^/^pup^esi4 aus lp s '^ ^ j|^ ù ;s,ôusrgenre&,
que. n^s^en agpns, démem{p<^J|
Ainsi, le poryphoena hemiptera^qui n’a que quatorze
^ i i 'C D .: 1 4 ; À.,40; G.18,;P. dorsale,
mm^dont jpaJ Mfatralés en ont hujt|,|nu pourra|^etjpè
■ ^ fch é .d an s la divisipn des acanthoptérygiens que parmi
Çsbÿl©çentrmn,ou les myripristp;; mais il faudrait sup-
pos^qugfb^.ï^P^-^Piî^ux du dps mutpu bl i é s « . 1
.Z <1. (a’jêst^sur ic^tfe^l'pècp :que Mt L^cépèdlega.Cétabfi^n
genre hémiptéronote, en y joignant Iç^Goryphoena penta-
dactyla, qui fel| uu.amj l a/oe. 1 ^u4»-
1. j.jGu.Yïtef V'al .fj t.. VT, — y aident, < t. III, p.‘ ’28. — 3. Idem, t. ÎV,
p. a8x. — 4. Dawpèdbi V. III, p. 2i4’ ^ ^M wÜ
S i T s ' 26