par une tète, beaucoup plus étroite et plûs longue., et pafce que
l’intervalle des yeux est bea,ucojip; plue étroit, à peine du, tiers ; du
diamètre de l’orbite. Le' sillon creusé entredes; devur arêtes surcilières
. et dentelées, est plus profond; en cela l’espède nonyelle se rap-
- proche d.u platyeéphale.dè Rodrigue; mais elle a l’oeçiput mgjns
large pies carénés. plus- prononcées et les dents de la crête dn.-troisième
sous-orbitaire moins npmbren$és. On ne lui en compte que
trois, connues dans le plajtycéphale-raboteuxiy..
La ligne latérale ressemble à celle dç; cerne dernière espèce.
D. 9 — 13 ; A. 12,.etc.
M. Dussumier a pris/ce poisson à Bombay àvecTeplatycephalus
scaber.
Ses couleurs, décrites d’aprèsde frais, sont d’un fauve fpnèé^sur
le dos et clair sur le ventre. Trois bandes pâles traversent le' corps.
La première est sur l’occiput; la seconde à la base dufprëmier rayon
de la seconde dorsale ; la troisième sur là queue.’ Une bandelette longitudinale
jaune vif brille sur vhàqùe côté-. La'première dorsale et
• les ventrales sont noirâtres. Les autres^ nageoires' sont variées de
noir et de jaune. -
La longueur de l’individu est de quatre pouces.
Page a à4-,j après Particlç général suv^es,scQrpèhé^'étfâhgèfëis} ajoutez*!
La Scorpène de Madère.
( Scorpoena Madurensis, nbb.)
Nous avons cru reconnaître la scorpène truie (scorpoena
scrofa, Linn. ) danS un dëssin envoyé "de Madère par
M. Bowdick Mais il existe en outre sur les cotes de cëtte
île une petite scorpène d’une i espèce particulière, et qui
a été donnée à Londres à M. Cuvier lorsodu dernier $é-r
jour qu’il y a fait.
"#fë©mpa.ï4 ê ayfee .la §fcorpèn©m’u ie y elle p ré sen te l e s d i f -
f é r e ^ ^ T TS îi vantes
Le d|Xest plus élevé,.les épines du, sommet de* la tète sont plus
' pointues, les crêtes çl.eia tem^plusié^Ygés : celles du sous-orbitaire
'postérieur qui cuiraljseda joue, et cellfes ded’oper-cqle, le «ont moins ;
• l’épine du.&oüs-ôrbitaine antérieur pl^s aigue. On,-qompte unC épîne
*'- de plus AU; bord du préopercule, que leur nombre est de
six. Les lambeaux charnus sont pres’qüe nüls com%e dans.le pondus,
avec lequel on nepétit ccrn^n^e *cette noto|è%bspèce, qui a les
étailles plus grandes et à?pieu près. ctjgtme.éfez le spjqfa;^trente-*
cinq pu quargntp entre, l’pmc'^t la c , Lfintervalle entre,lès
yqux e&t^ussi.plus large, et pçutf^rç même encore plus que;chez
La longueur ,et. l^|<|sce,'rki spoq^cirayon épiDeuà sont .ati^si,un
; caraOtère-remarquable.
■ .D. 11 — 1/9; À. 3/5, ©te.
, Cêtte àkferîpène a le^q r^ ^n d û ^ irn ;', jnàrbrê^p grandes taches
maiTO^plqsoCnio&is vijP.'Sfùr le bàsJd è l# jW e'e t’sôus-le’s branchés
de la m^tïl^pire infériehre il y à de nombreùx-’points bouns: Ses'na-
ge^irès ^oTiM aussi variées de tachés'brunes; mais, je n^jjvcûs sur
aucun.dfes individus la grande tache bpife que pqrte^T%<rq/a sur
les d’erniem .rayons épineux de- s^ première^oj-sàlè..
-ÿros;individus-sont longs de trois et de quatre p.oute;, ■
Page 2 2lk'j après.l’artrcleïié^da scorpène du jSrésil, ajoutez. :
L a ScORgÈpËfiSpROFINE.
( S c o r p c e n d ^ s b r à f i t i a ; ntob.,)
Nous avons'fait connaître |f©üi le nom dë scorpène du
Brésil, tsn. poissdn très-*vêisin du scorpoena par m s , en
même temps qu’il tient :de la scorpène truie dë la Méd.ir
ter rangée. Voici aine séaonde. espèce des. mêmes *c,êtes, qui