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là tète un peu pointue ; les lèvres épaisses, charnues, rougeâtres ; le
corps lancéolé,, comprimé et ,à grandes; écailles ; les opercules
étendus et alongés fÉar- dçsjt bords membraneux, assez .grands.’-La
cou|®r est grise, avec dés' bandes onduleuses brune^ .^nne près” de
la dorsale, un# par le milieu des côtés; une^tacKe noire à la queue.
JX. 14/10; $|P.
L’anale et la’caudale sont sopvjînt| variées.
Pallas le d o rm e, comm e u n poissera d é bo,n gout^, q u ’il
n a v u que. su r les ro ch e rs y pism l d’Alupka , s'ur les côtes
d e Crinvee^ o ù il ,a b o n d e vers*le p rin tem p s. .
t>espèçe ttoit'^étîO très-Voisine', d e note® crenil^brus
tin c a j ruais ï é f couleurs. n e p a ra iss e n t pas semblables.' *,
Le Crénilabre brid'# '
(Cr eni la b ruà ' c a f i i smi ïu sLa b rus eajf&tratus, Pallas.)
^C ’e st encore,, u n crén ilab re q u e le la b ru s c a p is tra tu s
d èx P a lla ^1 -
" l e chfps est conqnjmé j à <fes tranchaptet couvert d^c^He^assez
petites. Leslèvffe sont .épaisses,' blanfebes à/l’eAeneur, Wügèâtres
en “dedans ; plisséés obliquement ; la mâchoire supérïeùré a’d'eui
dents plus fortes-; le preoper^ile est dentelé. -LaLtête est vë^e-,
tr^bètée de hrun-, êt sur la joue, au-dessous de l’oeil,
traits' obéîmes noirâtres, bordés,. de-?vertPqtii eronrassei^Ée desapqs’
de la mâchoire comme une brrae. Au-devant de Poeil eslpune tache
noireLié“'tronc est-verdâtre et .taehëté'de brun; ieRentre, est
blanchâtre ; cunn noire existe de chaqpe ççté'd,e la
queue; la, pfStoral® est cl’un jaune vêrdâtré;Tfes ventrales-,-vêrtes,
Méont tachetées de brun f la dorsale et l’anale son.t vertes et tachetées
; de brun ;
» ; ; P. 18 '
1; Ferun* ross., l. III,,^.-Â6gl;
CH.AP. IIL CRÉNILABRE S. 161
Baflap- en a vu= depuis ,1a taiJJ| dun pouc*è|upqu’sf six $
efr'4k%st-âsSe? abondant dans la b*aie, de Théodosie.
Il en ‘a observé quelque variét«g^s taches; il ^remÉrqué
que lès’coureur;* sèSper'dent dàns l’alcool ^est que le p disson
devient g risai
. Cett-e^esp hcWa cfg|[ rapports avec 1 effîr!%?reWens et avec
le Çriçjpptatus, pardè^nofnbrés défrayons-et par quelques
oiSp'ôSffi.ëhs^ géhéràle^ desfepuleurs ; mais les brides dé' la
fêté la distinghent snffiSamment. Elle ne peut êpe non
plus- rapportée; au labrus griseus dè> Br^nnîch^eohîme
Palis® a" h'ésiG|jh à te ’’efoiré. ^
Le OllÉNILABRE&A ..-FREJNfiL,» ,
-(QreniMibrustfroenàbiFsy rxàh,-, Labrus froe m ttits 3 Pall.|,
Une autre, espè^èj, voisine de là pr&edehÎÉëV ést cellè
que Pallas a flommèe labrus frcénatus, dans sojft. Füupn
rossicdj, page 2 rj.
Ç’èst un petit poislSfi1 à corps couvert ;crassez grandis écailles;
épais; à museau court, obtus; a' mâcnou|es égales.
B, 14/9; A:' Sy8i C. 13 ; P. lfr V4. ïfi.
Le dessus de kttête ext-hrun; u y à spq&l’oeil trqis bandes bftines
interrcumpues. nbliquea'Ble corps est gris,, couvert de taches branes :
bmen^vôit aussi sur 4a dorsale, qui est lisérée de brun ; une tache
noire existe près de la queue!
1 Ce poissèh est observé plus rarement que ils autres
parmi cette quantité' de petits labres que Km prend sur
lef rivages de la Crimée^ ^