dans le plus petit de nos iadividus j elle est éehanorée dans
oéux de moyenne taille, et elle-devient, dans* le grand
poisson de * Saint - Domir^é;JilOùÉ; aussi profondément
fmTrid itip qiie ls f càiidéfïë du Lktdhn. sildïïüs.
La figure de Parra représente'fort exacteméiiÇfpl. 3, fig. 2)
l’individu que nous devons aux rêjcHer'cfia^dç. M.
'm a n q u e :*égalemeirt.d^nojfrsux la queue, de tacjie^ aux
flancs, et h n’a que trois filamens- dé; couleur fauve. ôo.mme
le, corps, oir les bords des parties.molles de la dorsale et
de lanale sont seuls teints' de rosé.
L’auteur assure que sa chair est,suspecte: -
Le Lachnolême perroquet. 4
{ Lachnolaimus psittacus/noix,) .
• M. Piëe, qui paraît avoir regardé tous les lachnolèmes
tomfne îdentiquesj ‘"en décrit un de Porto-Rieo,
d?u n ro u g e ro s e , q u i, outre la tache noire de l ’angle de la dorsale,
^ é t é a u n e a u tre , p lu s petite, à I’ângle 'co rre sp o n d an t d e d ’a n a le |’'fc-
quelîC s’efface ag rè s-la mort. ,
' Les colons espagnols de nette île ont donné ù Oe poisson,
a cause de ses belles couleursf'îé 'nom de notorr'a.j qui
signifie perruche. Gommé'nous ne lavons pas vu,-nous ne
pouvons pas dire jusqu’à quel point il ressemblé aux antres
ou en diffère pôtir les caractères de forme, ou s’il doit être
d’une espèce à part; mais la taché de son anale nous le fait
soupçonner; il est le seul sur lequel on' trouve ce caractère.
,^Gb|A PITRE Y IL
. ■ Des Taut&gûé&¥Wttâtbj&ti nob:)?
J’ai employé-,, Êt»^exemplevd^,tlÿl^tqhill^Ie nom qui se
terminait, par unè^hepfèusêi eupbèojéf, en, qpg désincpçp
latine, pour faire eonB&i|xe; pu q^^ea.q^rir§,clg1[a fanlihe
' que||e;traite4ans
Les lau-togues sont desplabr.oï4#s d ontaJe^axactère ^géi^é-r
rique. consiste dans la double rangée, de^qr§t%së!ur les deux
mâchéiresf.et'dans Le nu de,la p^au., épaisse, et, sans écailles,
qui,copvre l’opercule, le s^i^>ppfa’cfile£çti’intepopercùle ;
il n’y ,è,n atmême jque fortpeu'fé’ùr le préppèpcule., ï
^jÇ^genr^émble-npus.cbpduire aux gireUp§t, d°Pbîa joue
est ^o^fn^nue. .
îjüous ne,,possédons .dans ,nps jcolleptipns qu’un^sp'èçe
de l’Atlantique, qui offre d’assez nombreuses v,ariétjé% et
qui fournit, sur les côtes des États-Unis d’Amérique t uné
ppc-lie aboudâüte; nous pensons mênte ^qu’il n’y a qu’une
seule, quoique Mijchill en ait distingué une féconde, dans
•son premier lissai sur les' poissons dje, Néÿy-Yôrk, dont il
n’a plus parjé.dâns son. grand mémoire. Mais" la mer, des
Indes,en nourrit plusieurs autres qui offrent loutesle même
caractère générique.
Le Tàütoguë noir. ~
Tautoga nigra». ^itcb.L|.t ;
Ce poisibn ,€qui porte à New-York le nom de black-fish
(poisson noir ),! dénomination qui lui est- commune avec
le çentropriste noir {centroprïstis atrarim,, nob. ), et
quelques autres encore,^ de familles très-différentes, tek