plexe et à rayer du eâtafegiie de nos »<5/oecie^j emmêïne
temps qu’il conserve le labrusirüpestris.
■ ,'Gè” qu’i l ! $ N à q u h ; ç b labrus cornubius
a été/'sans aucune critiqua préalable, appliqué par mn
assez græàiTnombre. d’a u t e u r s à des pûisS@nsS®ôu-
jours différens de cemi de Ray, et-sokvent même difféfjeds
dii second cfei Pennanti- Nous lavons,-fait t remarquer .à
f occasion Ldçs crénilabreS, dont nous, avons déjà parlé en
citant les travaux de MM. D-onovan, Tutlony^Fl’àtmkig,
Jënyns, Yarell .et^Gouch.
- ,M. .Yarell aurait pu *cep<?hdant faire: entrer dans vsdn
Histoire^ des ^poisséris^af’Angleterre, et séus un article
particulier, notre:poissonpcar il en a dqjmd une figuré
dans la vignette de la page 3oi-Elle serait mêmeji .d’abri
de tout reproche, si la; tache défrayons dada dorsale n’y
avait’ p.as; éjé’ oubliée.
vflM. cornubius,mais Ijespîèdé dé
la Méditerranée t est differente de celle *■ db l'Océan.
Bloch a mentionné,-dans sa Grande ichthyofogife/^sous
le ^nom de lutjanus rüpestris (pl. a fio-, fig., i^-, Æes-piêca
dont; il s’agit dans, cet articlg; mais - soüsunë enluminure
un peu rudÿ, ét avec des lignes bleües sur la.tête,‘ dont
Muller et Linné ne font aucune mentjon.
C’est aussi sous. le. nom de labrus rüpestris q.ue M. Nils-
son1 en;parle. Cependant j’ai p^ine à eoinpreTidréÆomment
ce savant y-associé le bergsnultra du Ypyage daLimnéen
Laponie?;; car l’auteur dx^Systema naluroe dit positivement
que ce poisson avait dix-neuf rayons épineux àela dorsale
et une taché noire à la base du dernier rayon mou deicè ttê
J, frod., Ichth. Stand., p. y&} n.° §.
nageoire', caractères} rqufaaé eaventpsbnvemir qu’à n o tre
premier la b re ^ tttf^ u ^ nfe^liqué* '•Tp&&'\ê>ldbrus sià llu s de
Linné*, ëp e md ak ils m ri‘A c ft^ ’é’o m me ôné corlSéq
u è hw ' d e ^ ilM f ^ ^ o n ÿ itiié d GaPVff a dm ^ ta fit q iïe , par
unè. fautp^d’imprc&siôh j il’ faillevmre jpopr ^ nombres de
la.d ers a S i 7/^/an- lieu d o . ' t l L i n n é la émtj'tcë
qx% dans q f, d ^ lg p jt pas encore, suivant
notre- m a ^ ^ ^ d a ^ p to p t - e ,^ ^ ^ n ° ^ b y e stîî^ j^ y ^ ji§ ;d ^ ; la
dorsale>i^;eÉB80;!(*e p„od^.aù^eÿ§.Fand»,hom®ÉeK^îamBe 'siirl§s
^uleur^difféPens^traits-qui' h ed||®,k?Vi etqng n f - plus «à^kotre
ctéiiolabre. Il fati’t^â’àïlleurs' st:vsbuj|lk!^ que,-’si L'in^êév avait
vôulu^Gifre -l ’mf 'faydi^ da idô’fôâléff^felâ* y ou-
Gbdt dire-} 'S j^ n ,vî?sa^. maniqre*^;S‘éigWr^G§er\ h u it rayons
|&inettx è î ne*uf mono l a dorsale ,jaomb res.qui ne-siaeco r-
d e h t à. aucune. d^esiMefiipfecgs, dLn gpn,re, ,
Ëe cof^s, ‘d e ‘ forme qdns^àlBÊ^éeqqu’dValé, feftità^sez<'©p^is.'i* La
hauteur^eSwomprise trcfts”fo S ^ § ^ h distaWêeidu botrPÈâu- fnuJeau
a'® Êasè dès -i^dns *deda;fespudaleq.et.Tpoià--fois et demie dans Ja
sd 4©mguieur tfâtel%>-isLép^ssjemrv'met>ifeit^i;aS'. t@&t - g,- fait ' pp.©itiét de la
l> ; ' h^tôdrrdja.-lQngUeùf.-de' la tête|fait aué^mtûtié^e^qgïle ^du: tronc.
| La bouche >est&pethetp peu^leudue y Ja-mstebbiE&â-nféiàeure Dépasse
• i un~ peuolâ ; sqpérSeûre^. il yta erp avantt#%iatre 'dems en crB^cltets,
plus grandes quel celles-qui suivent; et derràèné^wte rangée une
bande droite- dgvdéuts' en yeTours ülesî/lîlpe^ ' >si®.f assez • -épaisses,
' - en bourr.elftfai’rojidii, ne; rb%"êl>vraiît pas lès dents dû premier rang
la supérieure >a qisÆlqaaes plis obliques Ærès-fins.’Le diamètre de. boeil
fi - est du quart de la longuêur de la -tête^ l’orbite- e?t*éloigqé_3u bout
dp museau, d’une-fo.is et demie ce diamètre. Quoiquefl’oeil soit sur
le haut de la j oug, le ceBol^lde son^-boTd ..n’entaine pas -la ligne du
profiàlL’intervalle qui sépare, les deux, yeux est un peu plus grand
que lè diamètre ifest-long,- eonvexe d’un oeil à l’au&re,: et presque
. rectiligne dans le sens ilongbudinaf La nüque eist un* peu plus
•râevée p lersQusiorbitaire- est iassez grand, minée et arqué en avant j