Nous enwons reowde Toulon , de Naples, de Messine,
de Morde et (îè^Malaga..
M. Laurillard nous en a rapporté deux autres variétés,
plus éloignées que la précédent^ de, ce que; nous donnons
potitr type du julis Giofredù
La/prémièrë a les couleurs distribuées en cinq bandes longitu-
dinalés. La supérieure, sur1 le haut du dosj est un brun verdâtre
mêlé de iWgeâtre, surtout Vers îatète; la seconde, tracéçlau-dessus
de la ligne latérale, en partant* îje l’oeil, est d’un vert' glauque. La
’ i^isième, d’un brun violâtre, s’étenddu Woxït du inusélü l’origine
de la queue. La quatrièmelaussi'ionghé que hétroisième, est
blanc lave de ^verdâtre'. La cinquième colore re ventre en jaune
o ï^ g é /L a jaorsale a'1* la basé jàüne, le milieu rougp et le bord
% n c 5 l’aàaïe e s t\o u |i|'lis ê r é é de blanc -, là caùdale est mêlée de
jaune, de rouge êt dë vèrt'^l
L’indivxdii, est long; de trois poucef»],
La s^ n -d e v^riété.a le manteau vert^ marbréde grandes plaqueS
brunâtres ; la d otale a du vert à la base , et lg reste rouge liséré
de bleu.: l’anale porte trois bandes j une supérieure, jaune verdâtre-
une moyenne d’un brun rougeâtire, et le bord bleu clair. *
Je, ne vois, pas que les auteurs aient, avant M. Risso*
distingué cette Espèce-. .
La G irellè coquette.
.. ( J u lis fe s tiv a ,.nob.).
On a pu remarquer que toutes ces variétés, oont nous
avons vu plus de trente inçliyû|us, ont la membrane qui
unit, les rayons. antérieurs* : d.e f la dorsale rembrunie, et
souvent ,,memeiassf^^nt^l®; mais elles n’ont jamais "de
tache isolée, su rje tte nageoir.ev..Nous croyons devoir distingué!,
comme espèce, la girelle dont M. Garnot nous a
i3. * 35