Cxraelid a donc ©frit*! pîus altëré le Zaôww tincü [de
Linné, et'd’Àrtedi, ;©n .^adjoignant L’es!pè;ce*B&al caractérisée
de Eentapft. >M. de pasv daias les auteurs,
sur les indica^onssde Gmelin, -^assertion qunlèâ
préopereules fussent dentétésgÏm laiss4 l’espèce dans ses
labres^ eu jifraageaut u » p e u le nom ëpéeiâque d© Luàn<4
et eu appelait sou poisson lafrm Mmoïde^mah qui n’est
pas le lûtjan taneoïde de; ia?»prernière^ édition de Rissoj
qi^ique ©eluirci ait eitéPennéntî II ©nt mi€|tx fait de rapporter
sôn ©spèééau labrus tinca deBrikmieh, dont Sonna*
terre, et par cons^uent‘||aeépède, n’ont faitiaucun n$Jggé%'
et qui, est bien différent de Êespèoede Linné^ ebj’ai fait
voir aussi plus haut comment Donovan a donnée sous la
fausse détetoination d f labrus tmca^netre premier labre.
J’aurais d©n& peu, éclairci oetté uônïenelatureèureprenfnt
pour-notre ie^pèeede nom àe crenilabrus tinca, ftxf’ai
préféré lui donner] celui qu e S al viani Iwfcs. d’afee®dia^ig|*é j
etésousdiequel; Brünnéefrîên à ? laissé une :deseription sur
laquelle il uelpeut y avoirancua doute, i
Cetcé e s ^ f ? une de§ plus', c^i39iriünèl^et^aé's,pins‘Bfill^tesv(îe
Ja- !Medîtefià*'éè,; W 1 un des labroïdés^ qui • a dés- livrés fes” plus
épais Séâ’.'w
Le corps, ^s* eliptique et un peu plus, élaïsgj «tel Levant qule vec*
Ja ^ e u e .: La hauteur, prise, aux pectorales, n’e^t_;«nfcefraf qjiç
n p fr féfr e t^m ie 4|nsîalpigafenr totale; i’épafr»épt
cinquièmes <J,e la hauteur. Le pi<p|l * un pe,Uj yeux
l et le bout au museau, 4eyipit.i<Gonvexe star la nu<jue^|
La ‘îon guem- de bj/têfe est un peu plus "ccmfte ^ue le ccups n’est
haut. Son ^üseau^ài" renfle *p)ïr lep&s^ i? des lèvres j il est
* 'recQuvert par le voܣ membraneux qui pasSse sur les sdUS -Jorbitaires,
et quîTeUndliUTdessus cres lèvres, qu’il cacEe qQtiër^pient,
(ge caractère don^é, .comme .je mH*' physionomie • particu*
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