■- situés de chaque côté-de.Ia.Àcqloiine Vertébrale-et <Jéb.ouch&ïit presi-
£ que jirectemeut en griffer e de la vessie* aérienne,, dans la vessie
urinaire, qui est oblongue et à parois tr^srihinces, mais résistantes.
H Â . e n ^ t i t s cri|||acésy en-petits oursins, que
i’ü e pôissou avale sans les'.triturer, so'üs âes^qMnrjyngiens^ en partie
’ arrondis.. J’ai aussi'trouvé des débris' de flustîris’foiiàcés ; et de-fuèus
i dans Péstomac. mfaÈiifM itô(ÉA£Éji K# Wfeî s I 14
; ■ Sur ^squelette« nous vôyons le . crâne avoir une . crête inîeipa-
•j riétalep^^ile, triangulaire, pointue .en arrière^ deux âutrésc^ïêtes
, .latérales ;et antérieures ,peu.saillantes.L!occiputiprblougé .en. arrière
‘ este 0001156. tronqué .obliquement. La-cr^te moygnne, qe^îjnuatiori
dé la première, est peu^êlevée, et, au contraire,.l^Jj^tgrales l.e sônL
davaniaeeR Êatrégion du «front est -bombée'; ' une; -crête., trans\tei?se,
. aplatie, .large,' peu âjjyéfe*, passe d’un fronial js'ûîe son,. çoîigéneiier," de
l’âUri^ïCUté,. et:termine aipri^îk»'gouttière, dans laquelle glissènt’Tfes
- branches montantes, .deïl’iutèrtnâxillaire,. qui .sont grosses1; etrfôries.
•Les,rf>s ..dujriez sont' minees, éirqljs, et alojî‘gés*?x ;
Je compte dix vertèbres abdominales^et un .parerb.hombr«e|4e
caudalessgLesapophyses-épineqse6.dela.dfirnière etçie lJa^nt-îdernmre
s’élargissent»pour former ensemble l’évefitaü osseux qui •soutientiles
- rayons-,des la caudale. Les apophySes;-terana>vefses -des’ ,vertèhrisj|h
, ‘l’abdomen sont peu longues;,-assé^grossês, .comprimées,.-aplaties
d’avafit fen araire. Sur leur face‘.postérieure s’articulent IprCÔ-tes,
4 qui,sonfr longues; âsSerifdrtésiKét dorit'les-deuze*premières'portent
des apophyses horizontales, longues etegrêfesi Les interépineux' J e
la dorsadeÆtdé l’anale sont hauts et-diminuent de largeur J: à mesure
qu’ils soût plus près, dé, la-fin (dp. la nageoire. Les crêtes latérales sont
assez; élevées, .et diminuent 5de la .même manière.
L’huméraLetle cubital sont deux tfès-fjbjts osj,qui laissent entre
eux une échancrure pep ouverte. Quant au,radial, il, est petit; sdh
trou.rond est assez grahdpies osselets du’^arpe Sont assçz larges.
Les os.pelviens sont longuet forts. a?
Telle^'est la vieille rouge la plus commune^ et qui offre
toujours cette disposition de rspuleur et vingt à vingt .et un
r'ayous^épineux-àda- dofsale, ll&êât .a'sâez étonnant que ce
poîsson^ait eïë inconnu d?i^rted®et de Linné. x)anS la
douzième ^îtâem du ■ System# naturoc, qui ëst de 1,766,
qIë ne trouve, aucun fôbr<Là qui - ce*, grand naturaliste ait
uomptélfces. vipgt (èt^une- ëfiines „à la' .dorsale. ;Laùnée suivante,
A^ganius publia le premier- caMeitjjdh ses Icônes
rei$%n%:- natura0kmj la bremièrMnlanche, représente d’uné-
manièrBf Tecùnnaissable notre poisson. La description: ajoute
erfèbre ;àeëë|qu;ir> eett^figure laisse1 'a1'.désirer. Létmombrës
des tairons de la"dorsale se rapportait parfaitement à ceux
de nos- « 1 e r As canius : l’epidïëte de
b ê rg ya a ^h è e (de son nomnotwegienCependant Gmelin
ne p^pfita. pas-du tra.v^ilr'du^^çqgistè dan ois ,4 et notre
p@issou.vne .’prit pqint, de place,,dansmette^édition du System#.
nuturæ.
'11 négligé également la description et la figu|ë du
Wallon, de. Pennàhtj 'qui ^pàrtient^rëé-prpbablemëht; à
la varieggianite de"notre poisson1 j sur la planche on voit
les os pharyngiens parfaitement bien rej^seirtes. Cëtte
figurflfa -été - copiée plusieurs fois, n est d’ailleurs -assez
cnnieiix d^,,rémarquer que Gmelin, ayant hiéglign,de
servir-;d’une description assez .bien faite, accompagnée
dune figure passable, ait placé dans la liste des labres le
L: comber et le Li%oqüus3 tous deux plus difficiles à
déterminer, et cdhnüs. par une phrase très-courte, et pèu
caràcfeHstique de. Rai ,4m par une figure toùt aussi peu
reconnaissable. Pennant a ajouté au L. comber de Rai des
«nombres de rayons qui peuvent faire présumer qu’on doit
le rapprocher de notre vieille rouge.
™ Notèzbien que le ïairus Baïlan de Risso est tout diffèrent Je celui de Pennant
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