^utre ^oissoii aè Ja mer des! InHes,’leiaibre hébraïque de
Lacépë‘dcf£,îPsp,èdet d’ailleurs âsstez'ma.l déterminée', comme
dn lé yërra plus tard. Dans sa ^éotideSeHmün, M. Risso*
prôfitânt de notre travailreçïîfi'â la fskîsse application de
nom de Lacépède, ët'ehangéa* son nom spécifique en celui
jp| gire^e turque, parce ^queïSç e ttp '^ p è c ^ ^ ra it, suivant
lui-, Gonnue à„ Nke< s$ps,iG. nom de girella tursca.
Elle* commence la; série nombr.ei!is,e ,:dës girolles à tête
g^osse^à museau court et arrondi, à pectorales tachetées
de tioiiâtïe, à caudale fourchue. Elle tient à ^es^poissops
deâ^ihèrsëqüatorialesp^fësde?vi‘vëS’cdhleurs^parle brillant
dés/sienfrëlà^
Le •corps estv arrondi de. l’avant, de- façon tjue la hauteur .aux
7 ventrale^, plus que .double de belle de la aueue, lait le,quart de la
. lonfflieuj^.totale. La longuepr^de^la tête,est dans’ les mêmes proportion^,
comparée à celle du corps. La nuque^esjt §o,utenùe; l’oeil
jest petit; la peau qui couvre les joues est épaisse ; les deux dents
du milieu dépasséntles, autres, qui sont disposées «sur ,un seul'rang.
La dorsalejgfpjnmence à l ’aplomh de l'angle tdedfùpercule. Ses
premières épines-sont wès-basses. L’anale répond au‘troisième ravon
- niou de la dorsale,' et elle ne la dépâssevpas en arrière.;La causale
., *ést^courte j les deux ou. pois rayons qui, la bordent se prolongent
en cornes, et la rendent, échanciée. La pectorale est arrondie: les
ventrales sont petites.
B. 6; D. 8/13 ; A. 3/11 ; C. 13; P. 15; Y., 1/5.'
Les écailles sont minces et assez grandes : il y en a une trentaine
entre i’otüe et la nageoire de la queue. Chaque • écaille isolée est
. pentagonale,, a bord membraneux, entièrement et finement striée,
de manière à^ce que sa portion radicale soit peu différente dé la
portion libre. La,ligne latérale, tracée en droite ligne près du dos,
s’incline sous la fin de-la dorsale, et reprend par le milieu de la
hauteur de la queue; elle esfoforméélpar une série de petits tubes
obliques, relevés sur chaque écaille.